La présidente d’une association caritative a accusé un membre fondateur de « harcèlement et d’intimidation à grande échelle » lors d’une interview télévisée. Cette accusation survient après sa démission et celle d’autres personnes impliquées cette semaine.
Sophie Chandauka, présidente de Sentebale, a déclaré qu’une campagne de relations publiques avait été lancée contre elle après sa démission publique de l’association, ainsi que celle du co-fondateur et du conseil d’administration.
Elle a expliqué qu’une information préjudiciable avait été divulguée sans l’en informer, ni informer les directeurs nationaux, ni la direction. « Imaginez l’impact de cette attaque sur moi, sur les 540 personnes de l’organisation Sentebale et leurs familles », a-t-elle ajouté.« C’est un exemple de harcèlement et d’intimidation à grande échelle. »
Une source proche des administrateurs et des donateurs de l’association a affirmé qu’ils s’attendaient pleinement à ce coup de publicité et qu’ils avaient pris leur décision collective (de démissionner) en tenant compte de cela. « Ils restent fermes dans leur démission, pour le bien de l’association, et attendent avec impatience que la vérité soit établie », a déclaré la source.
Cette même source a contesté l’affirmation de Chandauka selon laquelle la presse avait été informée des départs avant l’association, affirmant que des lettres de démission avaient été envoyées à la présidente et aux administrateurs le 10 mars.
Sentebale a déclaré que « certains membres de la direction ont eu connaissance d’une lettre signée au nom des administrateurs »,mais qu’il n’y avait pas eu de lettre de démission des donateurs.
Dans une autre interview, Chandauka a déclaré que certains voulaient « forcer un échec, puis venir à la rescousse » de l’organisation.Bien que les détails de la dispute ne soient pas clairs, Chandauka a déclaré qu’il y avait des tensions entre le personnel basé au Royaume-Uni et celui basé au Lesotho et au Botswana. Ces tensions auraient été déclenchées par ses efforts pour transformer l’association et transférer la prise de décision aux dirigeants d’Afrique australe.
L’association a été créée en 2006 pour aider les jeunes atteints du VIH et du sida au Lesotho et au Botswana.
Le Prince Harry accusé de harcèlement : analyze de la crise au sein de Sentebale
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Résumé des accusations et du contexte
Sophie chandauka, présidente de l’association caritative Sentebale, a accusé un membre fondateur de “harcèlement et d’intimidation à grande échelle” lors d’une interview télévisée. Ces accusations interviennent après la démission de Chandauka, du co-fondateur et du conseil d’administration de l’association. La présidente de Sentebale explique qu’une campagne de relations publiques a été lancée contre elle.
Détails des accusations
Chandauka affirme qu’une information préjudiciable a été divulguée sans qu’elle, ni les directeurs nationaux, ni la direction, en soient informés. Elle a souligné l’impact de cette attaque sur elle-même et les 540 personnes travaillant pour Sentebale et leurs familles, qualifiant cela de “harcèlement et d’intimidation à grande échelle”.
Réactions et contre-arguments
Une source proche des administrateurs et des donateurs a affirmé qu’ils s’attendaient à cette publicité négative et ont pris leur décision de démissionner en conséquence. Cette source conteste également l’affirmation de Chandauka selon laquelle la presse aurait été informée des départs avant l’association, arguant que des lettres de démission ont été envoyées le 10 mars.
Sentebale a déclaré que certains membres de la direction étaient au courant d’une lettre signée au nom des administrateurs, mais pas de lettre de démission des donateurs.
Contexte plus large et tensions internes
Dans une autre interview, Chandauka a suggéré que certains cherchaient à “forcer un échec, puis venir à la rescousse” de l’organisation.Elle a également fait état de tensions entre le personnel basé au Royaume-Uni et celui basé au Lesotho et au Botswana, liées à ses efforts pour transformer l’association et transférer la prise de décision aux dirigeants d’Afrique australe.
FAQ : Questions fréquentes sur la crise Sentebale
Qui est accusé de harcèlement ?
Un membre fondateur de Sentebale.
Qui a porté ces accusations ?
sophie Chandauka, présidente de Sentebale.
Quelles sont les suites de ces accusations ?
La démission de Sophie Chandauka, du co-fondateur et du conseil d’administration.
Quelle est la mission de Sentebale ?
Aider les jeunes atteints du VIH et du sida au Lesotho et au Botswana.
* D’où viennent les tensions internes ?
Des efforts pour transférer la prise de décision aux dirigeants d’Afrique australe.
Informations clés : Tableau récapitulatif
| Aspect | Détail |
| :—————————————– | :———————————————————————————————————————————————————————————————————– |
| Accusation | Harcèlement et intimidation à grande échelle |
| Accusé | Membre fondateur |
| accusateur | sophie Chandauka, Présidente de Sentebale |
| Contexte | Démission de la présidente, du co-fondateur et du conseil d’administration |
| Cause des tensions internes | Efforts pour transférer la prise de décision aux dirigeants d’Afrique australe. |
| Mission de Sentebale | Aide aux jeunes atteints du VIH et du sida au Lesotho et au Botswana. |