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Quels plats essayer en [Lieu/Pays] ?

by Nouvelles

Le Supra, un festin géorgien, est une expérience culinaire inoubliable.

Dès l’arrivée, la table est somptueusement garnie : plateaux de fromages et de charcuteries, rouleaux d’aubergines farcis, pâtes à base d’épinards, de poireaux et de betteraves rouges, salades de concombres, de tomates et de noix. Des carafes de jus de groseille et de limonade à l’estragon côtoient le vin rouge servi par un serveur.C’est le soir à Tbilissi, la capitale géorgienne, et à la longue table du resturant Rigi, le Supra, le festin géorgien, commence.

Pour ceux qui ne connaissent pas la cuisine géorgienne, il est tentant de se jeter sur le pain de maïs chaud et les pâtes, de remplir son assiette de salade et de fromage. Mais les connaisseurs savent qu’il faut attendre, car il y a encore beaucoup plus à venir. Tiko Tuskadze, une Géorgienne vivant à Londres, décrit la tradition du Supra comme une « suite infinie de plats délicieux », à laquelle elle a consacré un livre de cuisine. Un voyage à travers la Géorgie permet de comprendre rapidement ce que cela signifie.

À peine a-t-on commencé à manger la salade et le pain que de nouvelles assiettes et de nouveaux bols sont déjà posés sur la table : champignons braisés,« Khachapuri » (galettes de pâte farcies au fromage),feuilles de vigne farcies. Les assiettes s’entassent sur la table, et on se demande comment on pourra tout manger.

Si le Supra n’est pas consommé au restaurant, mais dans un cadre privé, il est accompagné d’un Tamada : un maître de table, qui est généralement assis en bout de table et prononce des toasts. Au domaine viticole Chateau Mukhrani, situé à environ une heure de Tbilissi, c’est le vigneron Patrick Honnef qui lève son verre ce soir-là. Le vigneron allemand vit en Géorgie depuis de nombreuses années et y a fondé une famille. Honnef remercie les invités de leur venue et de leur intérêt pour le pays et leur souhaite un bon échange. Les verres tintent au-dessus de la table bien garnie, et d’autres plats sont à nouveau apportés.

Non seulement la nourriture ne doit pas manquer lors du Supra, mais les conversations doivent également être constamment relancées, explique Patrick Honnef : « Le maître de table doit bien suivre les conversations autour de lui et peut donner de nouvelles impulsions avec ses toasts, mais aussi apaiser les conflits et améliorer l’ambiance. » C’est pourquoi ce n’est pas forcément l’hôte qui est le Tamada, « mais plutôt quelqu’un qui est connu pour son naturel sociable, son esprit et son intelligence ».

On peut découvrir comment sont préparés les plats géorgiens classiques à plusieurs kilomètres plus à l’est,en Kakhétie. Là, la Shumi Winery a aménagé dans un magnifique jardin non seulement un petit restaurant, mais aussi une sorte d’atelier pour les visiteurs. Dans un grand tonneau en bois, une employée portant un foulard et un tablier cuit du pain géorgien traditionnel : elle façonne la pâte de farine de blé en forme de petits bateaux plats et les colle aux parois intérieures du tonneau, dans le fond duquel un feu crépite – du pain au bâton d’un genre particulier.

On peut également essayer de farcir et de façonner les Khinkali, les raviolis géorgiens.De grandes galettes de pâte sont d’abord étalées, puis remplies d’une masse de viande hachée, de champignons ou de légumes et pliées en petits sacs avec des mouvements précis et rapides. Plus tard, ils sont soit cuits à la vapeur, soit servis dans un bouillon avec beaucoup d’estragon.

le dessert est finalement la seule chose qui est généralement petite dans la cuisine géorgienne – un peu de fruits, parfois une assiette de Pelamushi est également servie : des noix dans un manteau de gelée de raisin.Mais il n’y aurait de toute façon plus de place dans l’estomac pour un plus grand dessert après les nombreux plats copieux – un petit verre de vin doux ou un Tschatscha, l’eau-de-vie de marc de raisin géorgienne traditionnelle, est plus approprié.

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Le Supra Géorgien : Un Festin Culiniare Inoubliable

le Supra est bien plus qu’un simple repas ; c’est une véritable expérience culinaire et sociale. Dès l’arrivée, la table est richement fournie, promettant un moment mémorable.

une Table Somptueuse

La table du Supra est généreusement approvisionnée. Elle comprend :

Plateaux de fromages et de charcuteries

Rouleaux d’aubergines farcis

Pâtes à base d’épinards,de poireaux et de betteraves rouges

Salades de concombres,de tomates et de noix

Jus de groseille et limonade à l’estragon

Vin rouge

L’Art de la Dégustation

Pour apprécier pleinement le Supra,il faut faire preuve de patience. La tradition veut que l’on savoure chaque plat à son heure, car une succession de délices est promise.

Les Plats Phares

Au fil du repas, d’autres plats viennent s’ajouter :

Champignons braisés

Khachapuri (galettes farcies au fromage)

Feuilles de vigne farcies

Khinkali (raviolis géorgiens)

Le dessert, quant à lui, est léger, composé de fruits et parfois de Pelamushi (noix dans une gelée de raisin).

Le Rôle du tamada

Dans un cadre privé, le Supra est guidé par un Tamada, un maître de table qui prononce des toasts et anime les conversations.

FAQ sur le Supra

Qu’est-ce que le Supra ?

Un festin géorgien traditionnel.

Quels sont les plats typiques ?

De nombreux plats, notamment fromages, charcuteries, légumes farcis, khachapuri, khinkali.

Qui est le Tamada ?

Le maître de table qui prononce des toasts et anime le repas.

Où peut-on déguster un Supra ?

Dans des restaurants ou en privé.

Le Supra est-il juste un repas ?

Non, c’est une expérience sociale et culinaire.

Y a-t-il un dessert ?

Oui, généralement léger avec des fruits et/ou du Pelamushi.

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