Qui quo qua — — MOI, BYOBLU ET LE MAL

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Ici, mes amis et tous les amis de Byoblu, le diffuseur le plus indispensable de la respectable Italie, nous dénouons le fil d’un malentendu qui m’a frappé ainsi que ceux qui ont eu l’aimable générosité de me soutenir au ménisque – et même plus haut.

Un malentendu innocent et facile à dissiper, n’était le fait que le malin (pas celui aux cornes et au sabot, dont il n’y a jamais eu une ébréchure) avait mis dans son bouillon de crapauds et de serpents une éclaboussure toxique .

L’histoire rappelle un peu l’inoubliable Nuit des morts-vivants de Tom Savini, même si, plus que l’horreur, elle a quelque chose de malheureux et de pathétique. Pour voler un peu, sinon de la vie, de l’existence, on essaie de mordre ceux qui ont échappé aux ténèbres, ou ne les ont jamais fréquentés et se retrouvent, en excellente compagnie et grandissante, dans la lumière. Où par lumière, nous à Byoblu et ceux qui essaient avec nous, plus ou moins bien et avec succès, entendons vérité, intégrité, honnêteté, respect, cohérence, lutte.

Il y a ceux qui préfèrent d’autres méthodes et moyens. Tu te noies dans son bouillon.

La vidéo dit tout.