Quivers, critique de son album Oyster Cuts (2024)

2024-08-12 12:05:07

Les disques portant la signature de Carquois Ils impliquent généralement la satisfaction. Contenu et familier, mais complaisant en tout cas, sachant que le groupe australien se produit avec une certaine aisance lorsque la mission consiste à donner naissance à ce type de mélodies représentatives de l’indie-pop classique. Plus précisément, celui qui date ses influences du jangle-pop des années 80 et 90. Brandissant ces qualités, il n’est pas étonnant que ce soit Merge – le label détenu par Superchunk Mac McCaughan et Laura Ballance – qui ait retenu les services du quatuor tasmanien pour lancer son nouvel album.

Après le bon goût en bouche (et l’augmentation de l’impact) apporté par son prédécesseur, « Le doute d’or » (Ba Da Bing, 21 ans), le présent « Morceaux d’huîtres » Il s’agit d’une œuvre un peu plus irrégulière que l’œuvre précédente du combo, se situant un cran en dessous en termes d’intensité et aussi au niveau des compositions elles-mêmes. Et pourtant, la référence est appréciée avec une satisfaction prévisible, laissant place aux dix chansons qui composent l’album. Surtout, quand un joyau comme celui-là entre en scène « Ne soyez jamais seul » qui ouvre la référence de la meilleure façon possible, “Apparition”un « Économiseur d’écran » ça pointe vers la dream-pop, “Si seulement”ou la finale “Téméraire” valorisant le produit.

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Carquois Ils semblent avoir mûri prématurément, ajoutant une aura de mélancolie dont ils imprègnent une bonne partie des sélectionnés, tandis que le rôle principal derrière le micro, alterné ou partagé entre ses membres, se traduit par un intéressant effet de contraste féminin/masculin. Même s’ils n’ont pas l’air aussi inspirés que dans l’épisode susmentionné d’il y a trois ans, la vérité est que « Morceaux d’huîtres » Il s’assimile facilement et sans plainte. Surtout, pour les fans de groupes comme The Sundays, leurs compatriotes The Go-Betweens, The Chills, Natalie Merchant, Galaxie 500, Aztec Camera ou encore les Néo-Zélandais The Clean.



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