Par Gaëlle Moury et Julie Huon
Temps de lecture: 2 min
Les réactions au discours coup de poing de Jonathan Glazer ne se sont pas fait attendre. A Hollywood, dans la nuit de dimanche à lundi, le réalisateur britannique est monté sur scène, accompagné du producteur James Wilson, pour recevoir l’Oscar du meilleur film étranger pour La zone d’intérêt. Glazer a alors établi un parallèle entre son film – où le commandant d’Auschwitz Rudolf Höss et son épouse Hedwig vivent une vie tranquille et parfaite dans une maison construite sur un terrain directement adjacent au mur du camp – et la situation actuelle à Gaza. En faisant ce film, “tous nos choix ont été faits pour refléter et pour confronter le présent. Pas pour dire “regardez ce qu’ils ont fait à l’époque” mais plutôt pour regarder ce que nous faisons maintenant. Notre film montre où mène la déshumanisation la plus terrible. Ça façonne notre passé et notre présent.
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