Ma soupe idéale pour les jours de maladie est celle qui nécessite un minimum de cuisson mais qui est extrêmement confortable et saine. Même quand je ne suis pas en forme, je ne veux pas me contenter de fade. Cette version de la soupe poulet et nouilles vous oblige à porter une casserole de bouillon à ébullition… et c’est tout. Pocher doucement une seule poitrine de poulet dans le bouillon la garde tendre et moelleuse, car la courge kabocha et les pâtes ditalini libèrent juste assez d’amidon pendant leur cuisson (dans la même casserole !) pour donner à la soupe un corps velouté. J’aime le kabocha parce qu’il mijote jusqu’à obtenir une texture délicieusement beurrée, mais le gland et le delicata fonctionneraient aussi. (Vous pouvez également choisir de sauter l’éplucheur et de garder la peau du kabocha ; donnez-lui simplement un bon gommage si vous suivez cette voie.) Ajoutez du chou frisé pour vous assurer d’obtenir vos légumes verts et une grosse boule de miso pour la sarriette. saveur (on aime le rouge ici pour son goût plus riche). Terminez avec un filet facultatif d’huile de piment et vous obtenez une soupe délicieuse en cas de maladie et de santé.
Bien que je sois un adepte de longue date du croustillant au chili Lao Gan Ma (voir ici et ici), cette recette est un endroit où je la garde sur l’étagère. Au lieu d’un chili croustillant ou croquant plus texturé, une huile de chili nature, comme celui-ci de Lee Kum Kee, se marie mieux avec les saveurs moelleuses de cette soupe.
#Recette #soupe #miso #poulet #avec #courge #petites #pâtes