Voici une traduction et adaptation de l’article, respectant les consignes fournies :
Pénurie d’accueil : Des réfugiés ukrainiens refoulés aux Pays-Bas
Les municipalités néerlandaises, confrontées à une pénurie de places d’hébergement, se voient contraintes de refuser l’accueil aux réfugiés ukrainiens. La situation est critique, soulignant les limites de la capacité d’accueil actuelle.
Les centres d’accueil municipaux pour les Ukrainiens affichent complet depuis plusieurs mois. Divers acteurs ont exprimé leur inquiétude face à cette situation.
Un responsable municipal d’Amsterdam déplore cette situation :
« Nous sommes arrivés au triste point où nous ne pouvons plus accueillir de réfugiés d’Ukraine aux Pays-Bas et où nous abandonnons le peuple ukrainien. »
Cette semaine, Amsterdam a dû refuser l’accueil à des dizaines de personnes, une situation qui se répète. Le responsable municipal ajoute :
« Il est impossible de les orienter vers des lieux d’accueil dans d’autres villes, car il y a moins de 35 lits disponibles dans tout le pays et le taux d’occupation est de 99,8 %.»
Voici une traduction et adaptation de l’article, respectant les consignes fournies :
Pénurie de places d’accueil pour les réfugiés ukrainiens aux Pays-Bas
Les Pays-Bas sont confrontés à une pénurie croissante de places d’accueil pour les réfugiés ukrainiens. De nombreuses municipalités atteignent leurs limites et peinent à trouver des solutions pour héberger les nouveaux arrivants.Actuellement, 120 820 Ukrainiens sont enregistrés aux Pays-Bas. Parmi eux, 93 770 sont hébergés dans des structures d’accueil municipales. L’objectif était d’atteindre 107 000 places d’accueil en juillet, mais le pays ne compte actuellement que 93 970 lits disponibles. Le taux d’occupation des places d’accueil municipales est proche de 100 % depuis plusieurs mois.
Un problème national
Les municipalités ont exprimé leur frustration face au manque de soutien du gouvernement. Elles critiquent également les compensations financières jugées insuffisantes pour l’accueil des réfugiés. selon l’Association des Municipalités Néerlandaises (VNG), cette situation conduit à une certaine réticence à organiser des places d’accueil supplémentaires. L’association anticipe également une augmentation du nombre d’Ukrainiens arrivant aux pays-Bas en raison de la situation géopolitique incertaine.
Les Ukrainiens ayant fui la guerre dans leur pays bénéficient de la Directive Européenne de Protection Temporaire (RTB). Cette directive leur donne droit à un hébergement et à une éducation aux Pays-Bas. Cette réglementation est en vigueur jusqu’au 4 mars 2026. Les municipalités doivent fournir des places d’accueil en fonction de leurs capacités et de leur taille,et reçoivent une somme d’argent par réfugié.
Plus de 27 000 Ukrainiens enregistrés aux pays-Bas ne vivent pas dans des structures d’accueil municipales. Ils louent un logement indépendant ou sont hébergés par des amis ou des familles d’accueil. Les Ukrainiens non enregistrés peuvent également louer un logement et travailler aux Pays-Bas, mais ils ne peuvent pas bénéficier de prestations telles que les soins de santé, l’éducation et les allocations de subsistance.
« une partie peut se débrouiller », confirme un porte-parole. « Mais comme les municipalités de tous les Pays-Bas ne peuvent plus accueillir de personnes déplacées ukrainiennes, ce groupe vulnérable disparaît des radars. »
Réduction des financements pour les municipalités
La compensation financière versée aux municipalités pour une place d’accueil a été réduite de 61 à 44 euros par jour au début de l’année. Selon les responsables locaux, cette réduction rend pratiquement impossible pour les petites municipalités de créer des places d’accueil sans devoir y investir leurs propres fonds.
Les quatre grandes villes (Amsterdam, Rotterdam, utrecht et La Haye) ont souligné dans une lettre que les coûts réels par place d’accueil se situent entre 55 et 60 euros par jour pour les trois quarts des municipalités participantes. « Pour une ville comme La Haye, cela représente un déficit de 4 millions d’euros par an. »# Des communes contraintes de refuser l’accueil aux réfugiés ukrainiens
Des communes se voient forcées de refuser l’accueil aux réfugiés ukrainiens,faute de places disponibles.
« L’État viole ainsi délibérément et illégalement l’accord selon lequel les communes sont suffisamment financées pour les tâches qui leur sont confiées.
Pénurie de Places d’Accueil pour Réfugiés ukrainiens aux Pays-Bas : Une crise Humanitaire
Table of Contents
Les Pays-Bas sont confrontés à une grave pénurie de places d’accueil pour les réfugiés ukrainiens, forçant les municipalités à refuser des demandeurs d’asile. Cette situation met en lumière les limites du système d’accueil actuel et soulève des questions quant à la responsabilité du gouvernement.
Situation Critique des Centres d’Accueil
Actuellement, 120 820 Ukrainiens sont enregistrés aux Pays-Bas, dont 93 770 hébergés dans des structures municipales. Malgré un objectif de 107 000 places en juillet, seulement 93 970 lits sont disponibles, entraînant un taux d’occupation proche de 100 % depuis plusieurs mois.des villes comme Amsterdam ont dû refuser des dizaines de personnes cette semaine, une situation récurrente. Un responsable municipal d’Amsterdam déclare : « Nous sommes arrivés au triste point où nous ne pouvons plus accueillir de réfugiés d’Ukraine aux Pays-Bas et où nous abandonnons le peuple ukrainien. »
Un Manque de Soutien Gouvernemental
Les municipalités expriment leur frustration face au manque de soutien financier du gouvernement et aux compensations jugées insuffisantes (réduction de 61 à 44 euros par jour et par réfugié). L’Association des Municipalités Néerlandaises (VNG) souligne que cette situation engendre une réticence à créer de nouvelles places d’accueil, anticipant une augmentation des arrivées compte tenu de l’instabilité géopolitique.
La Directive de Protection Temporaire et ses Conséquences
Les Ukrainiens bénéficient de la Directive Européenne de Protection Temporaire (RTB) jusqu’au 4 mars 2026, leur garantissant hébergement et éducation. Cependant, les municipalités, financées au forfait par réfugié, peinent à faire face à la demande. Plus de 27 000 Ukrainiens ne sont pas hébergés dans des structures municipales, se débrouillant seuls ou grâce à des réseaux de solidarité. Cette situation laisse de nombreux réfugiés vulnérables sans accès aux services essentiels. Un porte-parole explique : « une partie peut se débrouiller, mais comme les municipalités de tous les Pays-Bas ne peuvent plus accueillir de personnes déplacées ukrainiennes, ce groupe vulnérable disparaît des radars. »
Réduction des Financements et Conséquences pour les Municipalités
La réduction de la compensation financière rend la création de nouvelles places d’accueil quasiment impossible pour les petites municipalités sans investissement personnel. Les quatre grandes villes (Amsterdam, Rotterdam, Utrecht et La Haye) estiment que les coûts réels se situent entre 55 et 60 euros par jour, ce qui représente un déficit important pour leur budget.
Communes contraintes au refus
De nombreuses communes sont obligées de refuser des réfugiés ukrainiens faute de places disponibles.Cette situation met en lumière une possible violation de l’accord de financement entre l’État et les municipalités.
tableau récapitulatif : Situation des réfugiés ukrainiens aux Pays-Bas
| Data | Chiffre |
|———————————|————————–|
| Ukrainiens enregistrés | 120 820 |
| Hébergés en structures municipales | 93 770 |
| Places d’accueil disponibles | 93 970 |
| Objectif places d’accueil (juillet) | 107 000 |
| Compensation par réfugié (actuel) | 44 € par jour |
| Compensation par réfugié (précédent) | 61 € par jour |
| Ukrainiens hors structures municipales | >27 000 |
FAQ
Q : Quelle est la cause principale de la pénurie de places d’accueil ?
R : Un manque de financement adéquat de la part du gouvernement et une augmentation du nombre de réfugiés arrivant aux Pays-Bas.
Q : Quel est le statut juridique des réfugiés ukrainiens aux Pays-Bas ?
R : Ils bénéficient de la Directive de Protection Temporaire européenne, leur donnant droit à l’hébergement et à l’éducation.
Q : Que font les municipalités face à cette situation ?
R : Elles sont contraintes de refuser l’accueil à de nombreux réfugiés, faute de places disponibles.
Q : Quelles sont les conséquences de cette pénurie ?
R : Une crise humanitaire avec des réfugiés vulnérables laissés sans accès aux soins et services essentiels.