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Refus d’universitaires étrangers : centaines de chercheurs et collaborations rejetées

by Nouvelles

Des universités ont bloqué des centaines de collaborations internationales et de candidatures de chercheurs étrangers ces dernières années, en raison de risques potentiels trop élevés.

Ces décisions ont été prises sur les conseils d’équipes spéciales créées par les universités néerlandaises. L’objectif est d’empêcher que des connaissances et technologies sensibles ne tombent entre de mauvaises mains étrangères. Ces avis internes sont déterminants, même si des exceptions peuvent exister.

Ces informations proviennent de réponses à des questions posées aux dix universités les plus confrontées aux problématiques de “sécurité des connaissances”.

Les Pays-Bas, une cible

Il ne s’agit pas uniquement de fuites d’informations sensibles. Les établissements d’enseignement néerlandais, y compris les hautes écoles et les instituts scientifiques, sont vigilants. Ils surveillent l’influence de puissances étrangères comme la Chine, la Russie ou l’Iran sur l’enseignement et la recherche. Ils veillent également à ce que les étudiants de ces pays ne subissent pas de pressions. De plus, ils s’assurent que les droits humains sont respectés dans les collaborations internationales.

Depuis 2022, le monde académique redouble d’efforts pour renforcer la sécurité. Cette année-là, le Coordinateur National de la Lutte contre le Terrorisme et de la Sécurité (NCTV) a mis en garde contre la Chine.

Selon le NCTV, ce pays ferait en sorte que « les entreprises, les établissements d’enseignement et les scientifiques néerlandais soient massivement la cible de diverses campagnes d’attaques (numériques) visant à s’approprier des technologies de pointe ».

“Ouvert quand c’est possible”

L’équipe de conseil de l’Université de Technologie de Delft (TU Delft), la plus grande université technique du pays, traite environ 700 dossiers par an.Delft développe de nombreuses “technologies clés” et mène des recherches sur les fusées qui pourraient intéresser d’autres pays.

L’analyze des risques est généralement positive. Selon le directeur de program,Peter Weijland,cela correspond à la politique néerlandaise définie par l’ancien ministre de l’Éducation,Dijkgraaf : « Ouvert quand c’est possible,fermé quand c’est nécessaire. »

L’idée est que la science doit par définition bénéficier du partage mondial des connaissances. Les universités néerlandaises souhaitent attirer les meilleurs talents nationaux et internationaux.

Sécurité des collaborations internationales : les Pays-Bas renforcent la vigilance

Introduction

Les universités néerlandaises ont significativement renforcé leur vigilance en matière de collaborations internationales. Face à des risques potentiels,elles ont bloqué des centaines de collaborations et de candidatures de chercheurs étrangers.

Des décisions motivées par la sécurité

Ces décisions sont fondées sur les recommandations d’équipes spéciales créées par les universités néerlandaises. L’objectif principal est d’éviter que des connaissances et technologies sensibles ne soient divulguées à des acteurs étrangers malveillants. Les avis de ces équipes sont déterminants, bien que des exceptions puissent exister. Ces informations proviennent des réponses à des questions posées aux dix universités les plus concernées par la “sécurité des connaissances”.

les pays-Bas : Un enjeu majeur

Les établissements d’enseignement néerlandais, y compris les hautes écoles et les instituts scientifiques, surveillent de près les influences étrangères, notamment celles de la Chine, de la Russie et de l’Iran, sur l’enseignement et la recherche. Ils sont également attentifs aux pressions potentielles sur les étudiants de ces pays et s’assurent du respect des droits humains dans les collaborations internationales.

Depuis 2022, les efforts pour renforcer la sécurité se sont intensifiés. Le Coordinateur National de la Lutte contre le Terrorisme et de la Sécurité (NCTV) a mis en garde contre les cyberattaques de la Chine, visant à voler des technologies de pointe aux entreprises, établissements d’enseignement et scientifiques néerlandais.

La politique “Ouvert quand c’est possible”

L’Université de Technologie de delft (TU Delft), la plus grande université technique du pays, est un exemple de cette vigilance.Son équipe de conseil traite environ 700 dossiers par an. L’université travaille sur des “technologies clés” et mène des recherches sur les fusées, ce qui suscite l’intérêt d’autres pays.

La politique néerlandaise, définie par l’ancien ministre de l’Éducation Dijkgraaf, est claire : “Ouvert quand c’est possible, fermé quand c’est nécessaire.” La science bénéficie du partage mondial des connaissances, mais la sécurité doit être préservée. Les universités néerlandaises souhaitent attirer les meilleurs talents nationaux et internationaux.

Tableau Récapitulatif

| Aspect | Détails |

| :——————— | :—————————————————————————————————————————————————————————————————————————————– |

| Motivations | Prévenir la divulgation de connaissances et technologies sensibles.|

| acteurs impliqués | Universités néerlandaises, équipes spéciales, NCTV. |

| Pays concernés | Pays-Bas, Chine, Russie, Iran. |

| Objectifs | Sécurité des connaissances, protection contre les cyberattaques, respect des droits humains. |

| Politique | “Ouvert quand c’est possible, fermé quand c’est nécessaire.” |

FAQ

Pourquoi les universités néerlandaises renforcent-elles la sécurité ?

Pour protéger les connaissances et technologies sensibles contre des acteurs étrangers malveillants.

Quels pays sont particulièrement surveillés ?

la Chine, la Russie et l’Iran.

Qui prend les décisions de blocage des collaborations ?

Les équipes spéciales créées par les universités néerlandaises.

Quelle est la politique en matière de collaborations internationales ?

“Ouvert quand c’est possible, fermé quand c’est nécessaire.”

Quelles sont les préoccupations principales ?

Les fuites d’informations sensibles, l’influence étrangère sur la recherche et l’enseignement, et le respect des droits humains.

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