2024-01-22 18:14:38
AGI – Dès son embauche, « l’associée et administratrice de l’entreprise il lui a tendu un lavement avec l’ordonnance pour l’utiliser, il lui a imposé un régime hypoglycémique pour qu’il puisse perdre du poids et porter un uniforme de taille moyenne ou petitejeobligé de subir des séances de massage sur le lieu de travail qu’elle exerçait, il lui a imposé des analyses de sang et lui a demandé le mot de passe pour les consulter sous prétexte de lui donner des conseils en présence d’anomalies”.
Pour la Cour de cassation – section travail, qui a publié cet arrêt ces derniers jours, la femme a été victime d’un « effort »c’est-à-dire qu’elle a été mise sous pression par le comportement stressant de l’employeur.
Les « hermines » ont confirmé la sentence de la Cour d’Appel de Brescia qui avait a condamné l’entreprise à lui verser 12 500 euros pour préjudice biologique et moral. Un rapport médical a révélé que la femme souffrait de dépression en raison du comportement de son patron. L’affaire atteint son épilogue plusieurs années après les événements remontant à 2013.
De la reconstitution des juges, basée également sur trois témoignages et sur un email envoyé par l’accusé “par erreur à l’adresse email de l’entreprise dans laquelle le sujet était indiqué dans ‘cerobrolesi’ et son contenu parlait de l’employé”, il ressort que Lune femme et d’autres travailleurs “ont été victimes d’un comportement oppressif et préjudiciables à leur dignité personnelle et professionnelle ayant donné lieu à des intrusions inacceptables du supérieur hiérarchique dans leur sphère intime et personnelle, aboutissant au dénigrement et à l’humiliation ».
Dans la phrase publiée par Studio Cataldi et lue par AGI, il est également écrit la victime d’efforts était “souvent accompagnée dans un placard et détenue là par son collègue plus âgé”. La Cour de cassation a rejeté le pourvoi présenté par l’entreprise pour laquelle travaillait la femme, jugé “en partie irrecevable et en partie infondé compte tenu du “motivation large des juges de deuxième instance”.
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