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Rome, 5 février – Remigrationun terme qui est devenu à tous égards le mot de passe D’un certain environnement d’identité et qui, à la suite des développements politiques du Nouveau Monde, conquiert également de plus en plus de terres dans le courant dominant. La victoire des dernières élections présidentielles américaines de l’axe Trump-Musk et la forte approbation de ce dernier contre le programme anti-immigration de l’AFD en Allemagne semblent avoir presque complètement prospectif.
Qu’entend-on par remigration?
Maintenant, même la droite institutionnelle SO appelée est plus à l’aise dans les discours inconfortables sur la question, donnant peu ou pas de poids aux accusations de vouloir “expulser” les immigrants qui, sous la pluie, commencent déjà à tomber de la gauche.
Mais qu’entend-on vraiment par remigration? Évidemment Rien à voir avec l’image des tristement célèbres pentes évoquées par les rangs progressistes. Mais, simplement, que processus de retour dans sa nation d’origine par tous ceux Immigrants et immigrants illégaux illégaux présent sur le sol européen. De plus, cette politique de inversion des flux migratoiresprévoit le La construction de chemins de remigration volontaires également pour tous ces immigrants, réguliers sur papier, qui ne sont cependant pas assimilés ou qui sont en état de non-intégration.
Le fait que ce phénomène intéresse ceux qui n’ont pas le droit de rester à l’intérieur des frontières européennes tombent immédiatement à l’accusation absurde de déportation, tandis que l’exode inverse hypothétique et volontaire représenterait le point culminant de ce discours d’identité qui a comme ordre de mots “un peuple, une terre«.
Une nécessité qui vient de loin
Il finit remigrationen fait, Ce n’est pas nouveau en dialectique politiqueBien qu’il n’ait jamais porté à l’attention des gouvernements. Est resté pendant des décennies en marge de la droite radicalea eu une petite parenthèse dans certains mouvements en tant que génération d’identité après la crise migratoire entre 2015 et 2016, puis trouvé de la chance aujourd’hui grâce à Martin Sellner, activiste d’identité autrichienne qui a amené le projet sous les projecteurs, même inclus dans le programme gouvernemental de l’AFD et en cours dans la nouvelle administration Trump.
L’origine de concept de remigration Il peut être trouvé dans certains Élaborations théoriques de la Nouveau droit Français relatif à Défense de l’identité européenne déjà au tournant de la fin des années 70 et du début des années 1980. Au fil du temps, ces visions ont trouvé d’autres développements grâce à des auteurs tels que Guillame Faye que, en un certain nombre de Élémentaire Entre 1983 et 1985, il a parlé prophétique Organisez leur retour progressif sur les terres d’origine avec les immigrants. En proposant également un Collaboration avec les nations d’origine dans une construction plus large de la solidarité historique et géopolitique entre les continents. Faye lui-même, face à l’immigration massive conçue par lui comme une “colonisation” inverse, a suggéré, bien à l’avance, le rapatriement de masse comme seule solution à ce problème existentiel.
Un terme lié à la narration d’identité
La perspective remimatrice a toujours été liée au Notion de remplacement ethniquec’est-à-dire ce phénomène à travers lequel les populations européennes autochtones sont remplacées par l’hébergement au nom d’un projet économique et idéologique de la grande capitale pour une transformation sociale fonctionnelle. Également prévu par certaines intuitions du ND et, plus tard, tirées de l’idée de Grand remplacement théorisé par Renaud Camus explicite dans son Le grand remplacement, Cette vision immédiatement immédiatement trouvé dans la remigration la seule solution radicale.
Dès les premières critiques à la société multiraziale, au progressif mondialiste et à l’immigrationnisme néolibéral, le concept de remigration Il a ensuite attaché au bas du narration d’identité.
Remigration et fin de l’immigrationnisme
À partir de la spéculation théorique simple, au cours de cette dernière période, La remigration est devenue une véritable proposition politique concrète. Cette considération est d’inclure dans un bon sens du bon sens concernant l’immigration et ses avantages supposés. Après des années d’immigration, les appels ont été solutifs par la progressivité mondialiste, nous sommes maintenant dans Réinterprétation profonde du même droit d’accueillir. Cela met en évidence comment arriver au fin d’un cycleà la fin de laquelle nous notions comme la seule certitude effondrement du mondialisme en tant que modèle dominant par la volonté de nouveaux modèles économiques post-grabalisation et post-immigration.
Ce qui changera dans les années à venir sera la réponse à la demande politique modifiée, peut-être le récit grand public Il sera envahi par les appels pour protéger l’identité ethnique et louer aux frontières fermées. Ou peut-être pas. Mais l’élément principal de cette nouvelle tendance historique consiste précisément àOuvrant que possible à plusieurs scénarios d’action pour prouver que, qui, qui disent, les adorateurs du dernier homme et des adeptes de Fukuyama, l’histoire n’est pas encore terminée.
Andrea Grieco
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