2024-05-11 16:22:00
PAVIE. La victoire de la Lazio au Scudetto en 1974 est l’une des histoires les plus fascinantes de notre football. Sculpté au nom de Tommaso MaestrellMoi, l’entraîneur voulait revenir en Serie A après la relégation en 1971. L’objectif fut immédiatement atteint. Et à l’été 1972 le groupe qui sera tricolore prend forme.
l’interview
Renzo Garlaschelli : « Quelle belle histoire mon scudetto avec la Lazio 1974 »
Stefano Pallaroni
Il DS Sbardella ramène de Côme le Renzo Garlaschelli, 22 ans, quelqu’un qui n’a marqué que 6 buts en trois championnats de Serie B. Avec lui une poignée de « Milanais » : le gardien Joyeux Pulicila médiane Roi Cecconi et surtout le réalisateur Loups frustrés, Ombrien d’Orvieto, mais “Milan” car il vient de l’Inter. Quelques mois plus tôt, Frustalupi avait disputé la finale de la Ligue des Champions, portant le numéro 11 de Corso, blessé, celui perdu à Rotterdam contreAjax par Cruyff.
«Frusta était notre Pirlo – se souvient Garlaschelli – tous les ballons lui passaient par les pieds. Joueur fondamental pour le championnat”
La Lazio a terminé troisième la première année, la Garla partitions 7 buts en 29 matchs et le scudetto ne s’échappe que dans la seconde moitié de la dernière journée : quand avec Milan s’effondre à Vérone, la Juve renverse le 0-1 à l’Olimpico contre la Roma et la Lazio tombe à Naples en finale après 90 minutes de discussions houleuses sur le terrain : termine avec 45 points et championnat de la Juventus ; puis 44 Milan et 43 Lazio. Quarante-trois points ce qui, un an plus tard, suffisait pour remporter le tricolore, Chinaglia marquant 19 buts et Garlaschelli 10.
La légende raconte que cette fois-ci avant Rome-Juve, troisième dernier jour à l’Olimpico, Maestrelli s’était rendu à Trigoria pour le dernier entraînement des Giallorossi. Il voulait les regarder dans les yeux. La Roma battra la Juve 3-2. Ce sont les années de la Latium divisée en deux clans qui occupaient différents vestiaires à Tor di Quinto : d’un côté Chinaglia, Wilson, Oddi, Petrelli et Pulici, de l’autre Martini, Re Cecconi, Frustalupi, Nanni et Garlaschelli.
«À la fin de l’entraînement, nous avons joué le match sur le côté court du terrain, sept contre sept ou huit contre huit – explique Garlaschelli – ; Maestrelli voulait qu’on joue deux touches. Et c’était sérieux : l’esprit de compétition était ce qui était mis sur le terrain le dimanche. » La Lazio tricolore sera quatrième l’année suivante lorsque Maestrelli recevra un diagnostic de cancer ; Maîtrise qui reviendra dans le tournoi 75-76 avec un salut mérité à la différence de buts grâce à Badiani qui a marqué le 2-2 lors de la dernière journée à Côme. Maestrelli mourut en décembre 1976 et le 18 janvier 1977, le roi Cecconi fut tué par un bijoutier. La Lazio terminera cinquième. Le déclin qui va transcender dans l’épopée de la survie amène le salut en 78, huitième place avec Giordano meilleur buteur en 1979, le scandale des paris et la relégation en 1980.
Le 27 avril de la même année, Garlaschelli a marqué le dernier des 49 buts de Serie A lors de Lazio-Naples 1-1: 8 ans se sont écoulés depuis l’été où il a débarqué dans la capitale sans même imaginer de loin qu’il resterait à jamais dans le cœur des supporters de la Lazio. —
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