La légende disait que la paternité coûtait aux pilotes de formule 1 une seconde au tour. C’était avant que les circuits ne deviennent de plus en plus sûrs et les pilotes de plus en plus jeunes. En tennis, les carrières ont plutôt tendance à s’allonger et la question de la descendance ne peut plus aussi facilement qu’avant être remise à plus tard. Sur le circuit féminin, la pause bébé est presque devenu une tendance, ainsi qu’un combat pour les questions relatives au congé maternité et à l’accueil des enfants en bas âge sur les tournois.
Un an après les retours très remarqués à la compétition de l’Ukrainienne Elina Svitolina (demi-finaliste à Wimbledon) et de la Danoise Caroline Wozniacki (4e tour à l’US Open), deux autres jeunes mamans, toutes deux anciennes numéros un mondiales, font leur retour en ce début d’année à l’Open d’Australie: l’Allemande Angelique Kerber, opposée à l’Américaine Danielle Collins dans la nuit de lundi à mardi, et la Japonaise Naomi Osaka, qui affrontait lundi la Française Caroline Garcia en session de nuit sur la Rod Laver Arena.
Cet article vous intéresse?
Ne manquez aucun de nos contenus publiés quotidiennement – abonnez-vous dès maintenant à partir de 29.- CHF par mois pour accéder à tous nos articles, dossiers, et analyses
CONSULTER LES OFFRES
Les bonnes raisons de s’abonner au Temps:
-
Consultez tous les contenus en illimité sur le site et l’application mobile -
Accédez à l’édition papier en version numérique avant 7 heures du matin -
Bénéficiez de privilèges exclusifs réservés aux abonnés -
Accédez aux archives
Déjà abonné(e) ?
Se connecter
#Naomi #Osaka #mère #toutes #les #batailles
publish_date]