Nous sommes entrés en décembre, ce qui garantit pratiquement un flux constant de ballades de la K-pop et de la J-pop. Cette énergie plus douce a tendance à être assez saisonnière, car les auditeurs recherchent le confort plutôt que l’emphase musicale. Le Japon a un appétit particulièrement insatiable pour les ballades, ce qui fait que NiziU Toujours la sortie parfaite pour cette période de l’année.
Toujours commence sa vie comme une simple ballade au piano avant de se transformer à mi-chemin. La production de style OST est brièvement remplacée par des percussions tremblantes, faisant écho aux sons de batterie et de basse trouvés dans de nombreuses versions récentes. Puis, la ballade de la chanson (est-ce un mot ?) revient en force avec un éclat de guitare électrique. A mes oreilles, cette dernière partie de la chanson est des plus réussies. Mais là encore, j’apprécie les arrangements dramatiques.
Aussi passionnants que soient ces changements instrumentaux, Toujours ne trouve jamais les mélodies aussi captivantes. Les grandes ballades sont avant tout une question de mélodie, et dès la première écoute, je me suis éloigné Toujours avec peu de rappel de la façon dont la chanson est allé. Trop souvent, il semble que les mélodies tracent simplement des lignes similaires à celles d’autres ballades existantes. Mais sans carte de visite unique, Toujours passe sans grand effet.
Note : C
Tags : j-pop, jpop, jyp, niziu, note 7, critique. Ajoutez le permalien à vos favoris.
#Revue #chanson #NiziU #AlwaysS