Róbert Puzsér à la conférence Sétáló Budapest. (Photo : Voix hongroise)
“Pendant que les grands et les petits du courant antilibéral dansent autour de Katalin Novák et Judit Varga avec des bâtons d’encens, tandis que Zsolt Bayer patauge dans un pathétique mortel et crie au monde que “deux femmes, deux mères, deux femmes”, permettez-moi de souligner qu’un garçon s’est jeté sous un train parce que le directeur du foyer pour enfants de Bicske, oncle János, l’a harcelé pendant des années et parce que son adjoint, oncle Endre, l’a fait taire”, a écrit le sur sa page sociale Le publiciste Róbert Puzsér. L’auteur permanent de notre journal a parlé de la démission du président Katalin Novák dans la presse gouvernementale.
Nous parlons de l’oncle Endre, qui assistait régulièrement aux événements de l’Académie Puskás de Felcsút avec les élèves de l’orphelinat, même si ce n’est évidemment qu’une coïncidence. Il s’agit de l’oncle Endre, qui a été gracié par deux femmes, deux mères et deux femmes, et qui a imputé cette disgrâce à la visite du Pape. Je suggère à Zsolt Bayer et au cours de troll, émus jusqu’aux larmes par la magnificence des deux femmes, mères et femmes, de réfléchir quelques minutes au sort de l’homme qui a été violé à mort, pour voir s’ils s’en aperçoivent. que Katalin Novák et Judit Varga ne sont pas les victimes dans cette affaire”, a indiqué Róbert Puzsér.