2025-02-01 14:44:00
Je suis sûr que nous tous qui aimons la musique et n’abandonnez pas pour continuer à enquêter sur le passé inlassable et vous publiez un son: mais … tu ne t’es pas fatigué? Vous n’êtes pas fatigué de chercher autant Morralla? Et je dois reconnaître que si ce n’était pas mon métier, il est possible que j’aie traversé des étapes de désenchantement. Mais, bien sûr, alors on trouve un album comme celui-ci “Soleil et ombre”, Il oublie le temps perdu et récupère à nouveau la foi. Il pense à nouveau que cela valait la peine de ne pas abandonner au goût de sons aussi élégants que cristallins. Et ce n’est pas ça Rose City Band Ils sont authentiques inconnus, mais il est vrai que Ripley Johnson, leur chef, a toujours été géré sur les rives de l’univers de la musique américaine, soit avec ce projet, soit avec d’autres de coupe plus dure et plus psychédélique comme des shjips en bois ou du duo de la lune Duo.
“Soleil et ombre” Il s’agit du cinquième ouvrage du groupe composé de Ripley Johnson susmentionné, très bien entouré de Barry Walker à la pédale d’acier, Paul Hasenberg aux claviers et John Jeffrey sur la batterie. Musiciens vétérans qui savent donner le contrepoint parfait afin que tout semble aussi muet que compact. Et c’est que l’une des plus grandes vertus de cet album est la délicatesse avec laquelle les instruments se soulignent. Le désoiner allongé vibrato de l’acier à pédale avec la douceur de la base rythmique et le murmure de Ripley Johnson. Une élégance qui fait référence à celle réalisée par d’autres groupes tels que le Mojave 3 d’un autre artisan de sonorité tel que Neil Halstead, le Kurt Wagner Lambchop ou à un moment plus opportun de la lune de Dean Wareham ou même du Jonathan Wilson le plus calme.
On pourrait donc dire que «Soleil et ombre«C’est un délicat album country-rock d’arôme cosmique et de colorants psychédéliques. Un travail détendu qui provoque le même sentiment de relaxation chez l’auditeur. Il vous suffit d’être caressé par des chansons telles que “Rolling Gold”, “Evergreen”, “Wheels”, les “Seeds of Light” les plus progressistes, le troton qui se condense en une seule pièce toutes les particularités de l’album. Avec ce rasengeur, je joue entre la pédale d’acier, l’élégant pointage de guitare et un organe d’orgue uniquement.
Dix chansons qui doivent être entendues de l’attraction, sans être décomposés, de sorte que le travail facture la dimension qu’il mérite. Et tout cela à partir des marges et pour ceux qui continuent à enquêter au-delà des classiques. Cette fois, cela en valait la peine.
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