Tendances, portraits, analyses : « Le Temps » s’associe à « Neue Zürcher Zeitung » dans le cadre d’une série d’articles consacrée à l’horlogerie et à la haute joaillerie. Notre dossier dédié
Dans l’industrie horlogère, on dit volontiers “incontournable” pour parler d’un sous-traitant dont on ne saurait se passer. L’entreprise genevoise Salanitro, qui a attiré l’attention il y a un an parce que Patek Philippe y a pris une participation non dévoilée, fait partie de ce cercle sélect de spécialistes.
Salanitro est l’œuvre de la vie de Pierre Salanitro, 57 ans, qui, alors qu’il est jeune employé de banque, découvre par hasard le métier de sertisseur et renonce du même coup à la carrière initialement choisie. “A l’époque, un copain m’avait emmené à l’atelier de son père. J’ai pu observer son travail et j’en ai été complètement séduit”, raconte Pierre Salanitro pour expliquer l’instant où sa vie a changé. L’homme, un certain Enrique Lorenzo, était en train de sertir sous sa loupe de scintillantes pierres précieuses sur un boîtier de montre et de les y fixer à l’aide de ses outils.
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