Salwan Najem a été inculpé après les déclarations qu’il a faites lorsqu’il a brûlé Korans à divers endroits à Stockholm à quatre reprises à l’été 2023 avec Salwan Mamika.
Maintenant, il est condamné à un jugement conditionnel et à des amendes quotidiennes. La Cour estime que bien que le motif ait été de critiquer la religion Islam, l’action a, par marge claire, dépassé ce qui peut être considéré comme un débat et une critique factuels.
Najem lui-même nie le crime et croit que ses déclarations constituent une critique religieuse qui est protégée par la liberté d’expression.
– Il y a beaucoup de place pour critiquer une religion dans un débat factuel et valide dans le cadre de la liberté d’expression. Dans le même temps, le commentaire de la religion ne donne pas de laissez-passer gratuit pour faire ou dire quoi que ce soit sans risquer d’offenser le groupe qui a cette croyance, dit le président dans l’affaire, le juge Göran Lundahl dans un communiqué de presse.
Critique: regrouper
L’expert de la liberté d’expression Nils Funcke estime qu’il y a encore des questions sur la distance que la liberté d’expression s’étend.
– Si vous regardez ce que Mamika et Najem disent dans la transcription qui est dans l’enquête préliminaire, je voudrais dire que Najem commente le Coran, sur Muhammad et sur l’islam de la religion et je pense que c’est dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté dans une large liberté de la parole. Je pense que vous regroupez les opinions de Najem et Mamika et que vous chargez ainsi Najem pour les choses comme l’a dit Mamika.
Selon Mark Safaryan, l’avocat de Salwan Najem, le verdict sera attrayant.
– Mon client ne se sent pas bien, en partie à cause de ce qui est arrivé à Mamika et maintenant aussi qu’il a été condamné. Il a du mal à accepter le verdict parce qu’il n’est pas derrière des déclarations que Mamika a faites. Ils n’ont pas synchronisé quoi dire.
N’avait-il pas été en mesure de prédire que Mamika ferait ces déclarations?
– Non, et il a supposé que les permis de démonstration leur ont donné approuvé.
Particière et a demandé l’autorisation
Salwan Najem a tous deux participé à Coran Burns et a envoyé plusieurs des demandes à la police. Il a immigré d’Irak en 1998 et est devenu citoyen suédois en juin 2005.
Les brûlures du Coran ont entraîné une crise diplomatique et ont contribué à une détérioration de la situation de sécurité pour la Suède.
Salwan Mamika a également été inculpé, mais a été abattu mercredi soir. Le procureur a donc clôturé l’accusation contre Mamika.