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Sanchez, Lula, Ramaphosa: maîtriser les défis mondiaux avec des forces combinées

by Nouvelles

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2025 sera une année cruciale pour le multilatéralisme. Les défis à venir – les inégalités croissantes, le changement climatique et le fossé de financement pour le développement durable – sont de toute urgence et étroitement liés. Votre adaptation nécessite une action courageuse et coordonnée – pas de retraite à l’isolement, des mesures unilatérales ou des perturbations.

Three large global gatherings offer a unique opportunity to pave the way to a more fairer, more inclusive and sustainable world: the 4th International Conference on Development Finance (4th International Conference on Financing for Development, FFD4) in Sevilla (Spain), the 30th Conference of Conference of Parties, Cop30) Climate framework conference (United Nations Convention on Climate Change, UNFCCC) in Belém (Brazil) and the G20 summit in Johannesburg (South Afrique). Ces réunions ne doivent pas rester une «entreprise comme d’habitude»: elles doivent faire de réels progrès.

Un moment multilatéral que nous ne sommes pas autorisés à manquer

La confiance dans les institutions multilatérales est frappée et le besoin de dialogue et de coopération mondiale n’a jamais été aussi élevé que ces jours-ci. Nous devons confirmer qu’un multilatéralisme ambitieux et orienté vers l’action est toujours l’instrument le plus efficace pour faire face aux défis partagés et pour promouvoir des intérêts communs. Nous devons tirer parti du succès du multilatéralisme, en particulier sur l’agenda 2030 et l’accord de Paris. Le G20, le COP30 et le FFD4 doivent servir de jalons pour un engagement renouvelé envers l’inclusion, le développement durable et la prospérité partagée. Cela nécessite une forte volonté politique, la participation sans restriction de tous les acteurs concernés, un état d’esprit créatif et la capacité de comprendre les contraintes et les priorités de toutes les économies.

Olga de Amaral, Bruma et (turquoise-naranja), 2013 © Diego Amaral

Olga de Amaral, Bruma G (jaune rouge), 2013 © Diego Amaral

Combat les inégalités grâce à une architecture financière réformée

L’allégement des revenus augmente – à l’intérieur et entre les États. De nombreux pays en développement se battent avec un fardeau de dette intolérable, une portée budgétaire limitée et des obstacles lors de l’accès à un accès équitable au capital. Les services d’approvisionnement élémentaires tels que la santé – ou le système éducatif doivent s’affirmer contre la hausse des taux d’intérêt. Ce n’est pas seulement un échec moral, mais un risque économique pour toutes les personnes impliquées. L’architecture financière mondiale doit être réformée afin de donner aux pays du Sud mondial, plus la représentation ainsi qu’un accès plus équitable et mieux prévisible aux ressources.

Nous devons stimuler les initiatives de l’allégement de la dette, promouvoir des mécanismes de financement innovants et travailler à la reconnaissance et à l’élimination des causes des coûts d’investissement élevés auxquels la plupart des pays en développement sont confrontés. Le G20 sous les priorités de la présidence sud-africaine ces trois domaines. Dans le même temps, le FFD4 à Séville sera un moment crucial pour obtenir des promesses pour une coopération financière internationale plus forte pour le développement durable, y compris une meilleure imposition des actifs mondiaux et des externalités négatives, une plus grande mobilisation des ressources intérieures et une réconciliation plus efficace et efficace des droits de l’éducation spéciale.

Transitions de la finance équitable vers un développement propre et résistant au climat

Pour de nombreux pays en développement, la protection contre le climat équitable est toujours inaccessible en raison d’un manque de fonds et de contraintes de politique de développement. Sur le COP30 à Belém, un sommet au cœur de la région amazonienne, il est important de s’assurer que nos engagements financiers dans le domaine de la politique climatique sont transférés à des mesures concrètes. Le succès de la COP30 dépendra de la possibilité de combler le fossé entre la promesse et les actes. Dans le cadre de la CCNUCC, la soumission de nouvelles contributions nationales sur la protection du climat national (contributions déterminées nationales, NDC) par toutes les parties contractantes et le Bakou à Belém Roadmap pour augmenter les fonds publics et privés pour les mesures de protection du climat à au moins 1,3 billion sur un plus grand rôle dans la finance climatique. La conférence de Séville complétera ces efforts en veillant à ce que le financement climatique ne soit pas au détriment du développement.

Olga de Amaral, Bruma D (Green-Magenta) © Diego Amaral

Une réponse mondiale et inclusive aux menaces mondiales

Le monde est de plus en plus divisé, et c’est précisément pourquoi nous devons doubler nos efforts pour trouver une base commune. Johannesburg, Belém et Séville sont destinés à servir de phare de coopération multilatérale et de montrer que les nations peuvent se rassembler pour des intérêts communs.

À Séville, nous travaillerons à la mobilisation des capitaux publics et privés pour le développement durable, dans la sensibilisation que les mesures de stabilité financière et de protection du climat sont inextricablement liées. À Johannesburg, le G20 réaffirmera l’importance particulière d’une croissance économique inclusive. Et à Belém, nous défendrons conjointement la protection de notre planète.

En vue de 2025, nous appelons toutes les nations, les institutions internationales, le secteur privé et la société civile pour faire face à ce moment. Le multilatéralisme peut et doit fournir des résultats – car il y a trop en jeu à échouer.

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