Santé, 4 milliards sont nécessaires entre les médecins et l’arrêt de la récupération

Santé, 4 milliards sont nécessaires entre les médecins et l’arrêt de la récupération

2023-08-02 12:32:08

Une dot minimum de 4 milliards de plus à allouer au Fonds national de santé pour tenter d’inciter les médecins et personnels de santé qui fuient de plus en plus les hôpitaux auxquels il faut ajouter l’engagement de désamorcer la bombe de récupération qui, grâce à la dernière prorogation approuvée dans le Le décret Caldo a déplacé le paiement de 1 milliard aux entreprises qui produisent des dispositifs médicaux à la fin octobre. C’est avec ce paquet minimum de demandes qu’aujourd’hui le ministre de la Santé Orazio Schillaci voit son collègue de l’Economie Giancarlo Giorgetti en vue de la “prudente” manœuvre d’automne. Une bataille ardue pour le titulaire d’un département qui seulement dans les années dramatiques du Covid a bénéficié de fonds extraordinaires pour endiguer la tempête de la pandémie.

Le ministre Schillaci – comme l’avait anticipé Il Sole 24 Ore du 26 juillet – vise à ce que “3 à 4 milliards de plus soient alloués principalement à des incitations pour le personnel afin de rendre le Service national de santé plus attractif”. Ce n’est qu’avec des incitations supplémentaires – c’est le raisonnement que Schillaci fera à Giorgetti – qu’il sera possible de garder les médecins et les infirmières dans les services des hôpitaux et donc aussi d’essayer de récupérer le trou noir des listes d’attente qui est aujourd’hui devenu le numéro un raison d’abandonner le traitement pour près de 2,5 millions d’Italiens. Les fonds supplémentaires serviront d’abord à tenter d’amortir les effets de l’inflation qui, de toute façon, se font beaucoup moins sentir que dans d’autres secteurs parmi les médicaments à prix négociés et le personnel payé avec des contrats nationaux. Les ressources “gratuites” supplémentaires seront allouées – c’est la priorité de Schillaci – pour tenter d’étendre à tous les médecins la prime introduite par la manœuvre de l’an dernier pour tout le personnel soignant qui travaille dans les urgences, la première tranchée de la Santé, et qui s’élève à 200 millions au cube. Pour essayer de garantir une incitation similaire dans la masse salariale de tous les blouses blanches, il faudra au moins 400-500 millions. D’autres ressources seront nécessaires pour payer plus cher des prestations supplémentaires (l’hypothèse est de 80 euros bruts de l’heure pour les médecins, 50 euros pour les infirmiers) pour ceux qui veulent faire des heures supplémentaires, peut-être justement pour briser les longues listes d’attente. Et encore pour les médecins, il faudra commencer à trouver les moyens du nouveau contrat national 2022-2024 pour lequel environ 2,7 milliards sont nécessaires : l’idée est de commencer à placer un premier “petit” poste aussi car il est désormais quasiment certain que les effets économiques du contrat 2019-2021 ne se feront sentir qu’à partir de l’année prochaine. Ces derniers jours, il y a eu une fumée noire des syndicats après la réunion avec Aran sur le nouveau contrat qui a maintenant expiré et donc le coût de 2,5 milliards (y compris les arriérés) sera transféré au Fonds de santé qui devait baisser en 2024 pour 132,7 milliards contre 136 en 2023 (où les coûts du contrat avaient déjà été provisionnés).

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Enfin, le payback game qui pèse 1 milliard sur les entreprises biomédicales : l’idée est d’essayer de tout annuler ou au moins d’en stériliser une bonne partie. La table convoquée par la sous-secrétaire de la Mef Lucia Albano travaillera sur ce front “avec les représentants de la catégorie pour identifier d’éventuelles solutions structurelles”.

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