Santé, 6 mille places vides dans les spécialisations. Médecins : un drame italien

Santé, 6 mille places vides dans les spécialisations.  Médecins : un drame italien

2023-10-20 12:09:00

Soins de santé, pour les urgences et les salles d’urgence 76% des places ne sont pas attribuées

La crise de santé publique il est là, à la vue de tous. Depuis la post-pandémie, la situation n’a cessé de s’aggraver et maintenant le les conséquences sont dramatiques. je jeunes diplômés ils n’ont pas l’intention de travailler dans les hôpitaux publics. Ceci est démontré – lit-on dans Il Fatto Quotidiano – par les inscriptions dans les écoles de spécialisation. Sur le total des postes annoncés pour 2023 – 16 165, y compris les contrats d’État, régionaux ou autres – pas moins de 6 125 sont restés vides. 38%. Avec l’effondrement de la médecine d’urgence (Urgences), pour lequel 76 % des marchés n’ont pas été attribués, microbiologie et virologie (89 % vide), pharmacologie clinique et toxicologie (88 %), radiothérapie (87 %). La pathologie clinique et l’anatomie pathologique sont également en chute libre, cette dernière étant une spécialisation fondamentale diagnostiquer des tumeurs.

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je jeunes médecins – continue Il Fatto – ils ne veulent plus travailler dans les hôpitaux publics. Ainsi, une fois leur diplôme obtenu, ils fuient toutes les écoles de spécialisation dans des branches comme la médecine d’urgence, l’anesthésie-réanimation, l’anatomie pathologique, la pathologie clinique, la microbiologie. Les spécialités sont meilleures – comme la dermatologie, l’endocrinologie, la cardiologie, la chirurgie plastique, la pédiatrie – qui ouvrent de bonnes perspectives pour le métier d’indépendant ou pour inclusion dans une structure privé. Une défaite pour la santé publique. L’explosion de Giammaria Liuzzi, secrétaire du syndicat des médecins Anaao Giovani. “Nous dépensons des millions d’euros pour des opérateurs de tokens, qui peuvent gagner un salaire de 700 euros par jour contre 1 300 nets par mois pour un spécialiste, quand il suffirait de réformer le système de formation nous aligner sur le reste de l’Europe avec des contrats formation-alternance qui correspondent à une responsabilité croissante un salaire en augmentation“.

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