2024-03-19 15:49:00
Au tribunal régional Leipzig Le procès autour du scandale du « Bicyclegate » a commencé avec la police. Il s’agit de la revente illégale de vélos que les policiers de Leipzig avaient saisis. L’ancien responsable de la chambre des preuves est accusé.
Le chef de la police, suspendu depuis, doit répondre de vol, corruption et faux en documents. On ne sait toujours pas si l’accusé commentera ces allégations.
L’accusé se soucierait de sa réputation
Le parquet lui reproche d’avoir cédé entre août 2014 et novembre 2018 au moins 265 vélos, dont certains de haute qualité, pour la plupart à des policiers, dont ceux de la police anti-émeute et de la police judiciaire de l’État. Elle aurait généralement reçu pour cela un « don » allant jusqu’à 50 euros.
Le procureur Christian Kuka a déclaré au début du procès que l’accusé n’avait pas agi principalement dans un but lucratif, mais souhaitait plutôt gagner le respect de ses collègues et connaissances. Elle souhaitait également se débarrasser du grand nombre de vélos entreposés.
Ils ont pour la plupart été volés, puis retirés du police été sécurisé. Selon des informations antérieures du ministère public, les propriétaires d’origine ainsi que les compagnies d’assurance n’étaient pour la plupart “plus intéressés” par les vélos. Ceux-ci doivent être éliminés ou donnés à une organisation à but non lucratif.
Le premier cas remonte à 2014
Selon l’acte d’accusation, le chef de la police a pris pour la première fois un vélo pour enfants dans la salle des preuves pour sa fille en 2014. Dans le rapport de remise de la police, elle avait indiqué qu’il s’agissait d’un cadeau fait à un club de jardinage, qui n’a jamais reçu le vélo.
Le prévenu a d’abord subi des pressions lorsque le propriétaire d’un vélo saisi a exigé sa restitution. Comme il avait déjà changé de mains et n’était plus retrouvé, la femme a exigé plus de 200 euros pour régler les dégâts. Selon le parquet, le prévenu envisageait alors de vendre des vélos à un revendeur afin de pouvoir verser à la femme la somme demandée.
Au cours de la procédure, environ 200 policiers, employés de la justice ainsi que des proches et des clubs soupçonnés d’avoir acheté les vélos ont fait l’objet d’une enquête. L’accusation : complicité, incitation ou complicité de vol. Presque toutes les procédures ont été abandonnées.
© dpa-infocom, dpa:240319-99-391234/5
Au tribunal régional Leipzig Le procès autour du scandale du « Bicyclegate » a commencé avec la police. Il s’agit de la revente illégale de vélos que les policiers de Leipzig avaient saisis. L’ancien responsable de la chambre des preuves est accusé.
Le chef de la police, suspendu depuis, doit répondre de vol, corruption et faux en documents. On ne sait toujours pas si l’accusé commentera ces allégations.
Le parquet lui reproche d’avoir cédé entre août 2014 et novembre 2018 au moins 265 vélos, dont certains de haute qualité, pour la plupart à des policiers, dont ceux de la police anti-émeute et de la police judiciaire de l’État. Elle aurait généralement reçu pour cela un « don » allant jusqu’à 50 euros.
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