Un jeune de 22 ans voulait faire chanter des mineurs avec des photos de nu
Le tribunal pénal de Schwyz a condamné un Serbe de 22 ans pour tentative de viol, tentative de coercition, tentative de chantage, pornographie et autres délits accessoires.
Le jeune homme de 22 ans, qui vit à Innerschwyz, a fait un travail haut en couleur et illégal sur les réseaux sociaux. L’astuce avec laquelle le Serbe voulait réaliser ses fantasmes sexuels était toujours la même ou similaire.
Il a contacté des jeunes femmes et parfois des mineures sur Snapchat, Whatsapp et Instagram sous un faux nom. Il leur proposait entre 1 000 et 4 000 francs s’ils lui envoyaient des photos ou des vidéos d’eux nus. Il a réussi cette astuce dans au moins sept cas.
Renonciation à l’expulsion du pays, mais interdiction d’activité
En aucun cas, les accusés n’ont payé les femmes pour les photos ou vidéos de nu qu’elles ont reçues. Au contraire : il a menacé les femmes en leur disant qu’il publierait les photos et les vidéos ou qu’il enverrait ces fichiers à leurs proches si les femmes refusaient d’organiser des rencontres sexuelles avec lui. Il était très précis sur la façon dont il imaginait le sexe.
En fin de compte, une telle réunion n’a eu lieu que dans un seul cas. Lorsqu’il essaya de l’embrasser, la femme l’évita. Il n’y a eu aucun rapport sexuel. Dans tous les autres cas, les rencontres sexuelles demandées ont échoué et, dans certains cas, les accusés ont tenté, tout aussi sans succès, d’extorquer de l’argent en menaçant de publier les images.
Le ministère public et l’avocat de la défense s’étant mis d’accord sur une peine, le procès devant le tribunal correctionnel de Schwytz s’est déroulé de manière abrégée. Le jeune homme a été condamné à une peine de prison avec sursis de 21 mois et à une amende avec sursis de 20 indemnités journalières de 90 francs chacune (durée probatoire de cinq ans chacune) ainsi qu’à une amende de 450 francs. Il doit également verser une indemnité et une indemnité de 2’000 francs à une femme concernée et une indemnité d’environ 2’500 francs à une autre femme. Et enfin, il doit également couvrir les frais de procédure d’environ 20’000 francs.
Étant donné que l’étranger est né et a grandi ici et qu’il n’a aucun lien avec son pays d’origine, il n’a pas été expulsé du pays dans l’intérêt des difficultés. Même si cela n’était pas stipulé dans l’accord de détermination de la peine, le tribunal – en accord avec l’accusé – a imposé une interdiction à vie de travailler avec des mineurs.
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