Cet article fait partie du ZEIT am Wochenend, numéro 35/2024.

Chez Rüdiger Koch, il y a une pièce dans laquelle règne le silence, qu’une tempête souffle sur la mer au-dessus ou qu’un courant de l’Atlantique tire sur les fondations en contrebas. L’homme de Karlsruhe de 58 ans aime particulièrement rester longtemps assis dans cette pièce dans son fauteuil de forme libre rembourré de rouge et regarder ce qui se passe devant les hublots. “Les poissons sont attirés ici”, dit-il, “c’est peut-être la lumière, je n’en suis pas sûr. Parfois, on peut voir une pieuvre à la fenêtre.”