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“Sept ans de prison pour avoir eu des armes, des silencieux et des munitions dans toute la maison”

L’affaire “Condamné à sept ans d’emprisonnement | Armes, silencieux et munitions partout dans la maison” a récemment fait les gros titres de la presse française. Il s’agit d’un cas complexe mettant en lumière les dangers de la possession illégale d’armes et la prise de risques inconsidérée. Cette affaire a suscité un débat sur la sécurité publique et le contrôle des armes à feu en France. Dans cet article, nous allons explorer les détails de l’affaire et les leçons à en tirer.


Giovanni Presta, un ancien complice de l’ex-tueur à gages Frédérick Silva, a été condamné lundi à sept ans d’emprisonnement à Montréal. Selon les autorités, il avait fabriqué des silencieux et des armes. Les forces de police ont trouvé des preuves incriminantes partout dans sa maison lors d’une perquisition menée en février 2019, après l’arrestation de Silva. Presta a notamment été reconnu coupable de possession illégale d’armes à feu et de fabrication d’armes à feu et de dispositifs prohibés.

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Lors de la perquisition, les policiers ont découvert des carcasses d’armes à feu, des chargeurs, des crosses, des canons, des silencieux usinés, une imprimante 3D ainsi que des documents relatifs à la fabrication d’armes à feu et de silencieux. Ils ont également trouvé des armes prohibées, des munitions et plusieurs armes de chasse légales dans un casier au sous-sol. Un pistolet avec silencieux a été découvert derrière une armoire de la salle de bain, et une arme semi-automatique dont le numéro de série avait été effacé avait été cachée dans un trou dans le mur de la même pièce.

Presta a avoué avoir fabriqué des silencieux, mais il n’a pas plaidé coupable pour conserver son droit d’appel dans l’affaire du meurtre de Sébastien Beauchamp. Cependant, il purge actuellement une peine à vie sans possibilité de libération conditionnelle avant 25 ans pour ce crime, commis en 2018.

Pendant le procès, les juges ont abandonné les charges contre la conjointe de Presta et certains des chefs d’accusation qui pesaient contre lui. Cette suggestion commune a permis d’éviter la tenue d’un procès, au cours duquel 20 témoins auraient dû être entendus et environ 50 pièces auraient dû être déposées.

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Giovanni Presta devra donc purger cette peine de sept ans d’emprisonnement en même temps que sa peine à vie pour meurtre.

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