Seul Jonas Vingegaard peut suivre Tadej Pogacar

Eskaliert er oder nicht? Zündet er den Turbo in seinen Beinen? Schon am zweiten Tag der Tour de France? Ja, er hat es getan. Tadej Pogacar suchte die Kontroverse mit seinen Konkurrenten um das Klassement, erlangte das Gelbe Trikot und bekam einen deutlichen Hinweis darauf, wer wohl sein Hauptrivale in diesen drei Rennwochen sein wird. Es ist nicht nur ein guter Bekannter, sondern auch derjenige, der Pogacar in den vergangenen beiden Jahren den Sieg bei der Frankreich-Rundfahrt weggeschnappt hat: Jonas Vingegaard.

Pogacar hatte mit seiner spektakulären Attacke bis zum letzten Moment gewartet. Nachdem der Slowene sein Team U.A.E. bei der zweiten Auffahrt zu Wallfahrtskirche San Luca, ein kurzer, heftiger Anstieg mit bis zu 20 Prozent steilen Rampen, das Tempo enorm hochfahren hatte lassen, spurtete er erst ganz oben los und stürzte sich in die Abfahrt. Mit Vingegaard (Team Visma-Lease a bike) als Einzigem, der folgen konnte, am Hinterrad.

Von Primoz Roglic, der sich und dem deutschen Team Red Bull-Bora-hansgrohe in diesem Jahr den ersehnten ersten Tour-Triumph bescheren will, war nichts zu sehen. Es war ein Rennen im Rennen, das die beiden Superstars ausfuhren – die Ausreißergruppen des Tages ließen sie gewähren; eines, das einige Mitbewerber überforderte. Und eines, über das Pogacar betont gelassen sagte, dass es eine gute Gelegenheit gewesen sei, „meine Beine und die meiner Konkurrenten zu testen“. Und fast beiläufig erwähnte der 25-Jährige, dass ja auch einige Konkurrenten „ein wenig explodiert“ seien.

A la première occasion, Romain Bardet s’est défait du maillot jaune qu’il avait conquis la veille grâce à une chevauchée de hussard lors de l’étape d’ouverture vers Rimini. Roglic a perdu 21 secondes douloureuses.

« Il n’était pas là où il était censé être. Il n’était pas à égalité avec Pogacar et Vingegaard », a déclaré Ralph Denk, chef d’équipe de Red Bull-Bora-hansgrohe, consterné. Le directeur sportif de l’équipe allemande, Rolf Aldag, a déclaré : “Quand ils partent tous les deux, il faut être sur la roue arrière.”

Au moment de l’attaque, Remco Evenepoel, le Belge parmi les grands favoris, n’y était pas parvenu dans un premier temps. Mais le champion du monde 2023 a quand même su rattraper son retard. Le classement donne donc l’image que Pogacar, Evenepoel et Vingegaard (ainsi que l’Équatorien Richard Carapaz) sont en tête en même temps, mais Pogacar a le « Maillot jaune » en raison de son meilleur classement général lors du week-end d’ouverture du championnat. tournée, qui est deux étapes passionnantes proposées.

Ce qui a été un peu perdu lors des premiers échanges de coups entre les plus grandes stars, c’est que le Tour de France n’a pas encore atteint le sol français, mais a eu une nette influence française. Après le succès de Bardet samedi, c’est Kévin Vauquelin qui s’est imposé en soliste devant des dizaines de milliers de spectateurs au bord de la piste de Bologne. Pour le professionnel français, ce fut le plus grand succès de sa vie, pour son équipe française Arkea-B&B Hotels, le plus grand succès de son existence.

L’étape de 199 kilomètres a débuté à Cesenatico, la ville natale de l’ancien héros du cyclisme italien Marco Pantani. Une réminiscence de « Il Pirata », décédé il y a presque exactement 20 ans – à Rimini, destination de l’étape de samedi.

D’une overdose de cocaïne, comme indiqué dans le rapport d’autopsie et un autre rapport. Et pourtant, il existe encore des mythes autour de la mort de Pantani en Italie. Le fait est qu’il a façonné le cyclisme à son époque avec son style de conduite agressif en haute montagne et l’a endommagé avec son dopage – avant de tomber dans la drogue.

Quoi qu’il en soit, Pantani est le dernier coureur à remporter le Giro d’Italia et le Tour en un an. C’était en 1998. En 2024, Pogacar relèvera désormais ce défi. Son arrivée (explosive), son apparition (confiant) et son apparition (maillot jaune) à Bologne laissent penser que la superstar slovène est sur la bonne voie.

Même s’il n’a pas réussi à faire peur à Vingegaard en selle, il sait au moins maintenant où il en est avec le Danois. Il sait désormais que le champion en titre a non seulement bien surmonté physiquement sa mauvaise chute du printemps, mais qu’il est également au sommet de sa forme mentalement.

Sinon, le Scandinave, qui n’a pas couru depuis près de trois mois, ne se serait guère lancé avec autant de courage dans la descente après Pogacar. Tous deux ont travaillé ensemble pendant un certain temps lors de la finale de la course, se relayant dans le travail de leadership comme une communauté d’intérêts frénétique afin d’imposer un écart sur la concurrence.

Tout porte à croire qu’il s’agira de la quatrième tournée consécutive caractérisée par le duel Pogacar-Vingegaard.

La prochaine confrontation entre les deux est attendue ce mardi (à partir de 13h05 sur le live ticker FAZ du Tour de France, sur ARD et sur Eurosport). Lors de la quatrième étape, le peloton emprunte le col du Galibier (2 642 mètres) sous ses pneus fins en direction de Valloire. Un terrain parfait pour le prochain duel entre les deux apparemment inarrêtables.