2024-01-12 10:09:54
Quand j’ai découvert pour la première fois « Singin’ in the Rain » en dernière année de lycée, le film m’a captivé. C’était incroyable de voir la joie de la musique et de la danse transcender le temps, me captivant moi et mes camarades de classe des décennies après sa sortie en 1952. Les numéros musicaux fascinants s’accordaient si bien avec le récit qu’il était impensable pour moi que la musique n’était même pas écrit pour le film.
« Singin’ in the Rain » est une comédie musicale en juke-box, ce qui signifie que sa bande originale est composée de chansons sorties avant le film. Créé à un pivot À ce stade de la transition du cinéma muet au cinéma parlant, le savoir-faire du film lui a valu jusqu’à aujourd’hui une place dans les programmes de cinéma et de médias, notamment dans le cours FILMEDIA 4 de Stanford : « Introduction à l’étude du cinéma ».
Parmi de nombreux éléments cinématographiques merveilleux, les chansons présentées sont au cœur de cette œuvre. Ils contribuent à la qualité magique de « Singin’ in the Rain » en lui donnant un ton vibrant, développant finalement un type de narration différent.
L’un des points forts est le « accrocheur et optimiste »Bonjour.» C’est mon morceau préféré de « Singin’ in the Rain », et il a fait de ce film mon préféré de tous les temps.
Les voix de cette chanson sont magnifiques. Les trois acteurs mettent en valeur leurs capacités de chant dans le numéro, mais la voix de Debbie Reynolds élève vraiment cette chanson. Sa voix claire et apaisante est toujours la mélodie principale. L’instrumentation est également très diversifiée, avec du piano, du violon, des trompettes et des triangles pour souligner les temps forts, ajoutant ainsi à la texture de la pièce.
Reynolds et ses co-stars mettent tout leur cœur dans la chanson pour la rendre envoûtante et entraînante. La chorégraphie qui l’accompagne – monter des pas en claquettes, sauter sur des bancs et même renverser un entraîneur – rend ce numéro musical vraiment unique, vivant et joyeux.
Il n’est pas non plus surprenant que ce numéro étonnant soit suivi du numéro principal, “Singin’ in the Rain”, mettant en vedette le leader Gene Kelly. Ce moment capture la magie sur celluloïd. Le personnage de Kelly, Don Lockwood, dit bonsoir à Kathy (Reynolds) puis danse sous la pluie. Cela reste l’une des rares scènes de l’histoire du cinéma à jouir d’une renommée éternelle.
La voix grave de Kelly ouvre la chanson, coupant la douce mélodie instrumentale et lui fournissant un joli contrepoids avant de passer au second plan. La sérénité rend cette scène irréelle, comme une séquence de rêve. (Et cela a du sens, étant donné que nous voyons Don Lockwood debout sous une pluie battante sans parapluie.) La scène et la chanson transmettent magistralement le bonheur de Lockwood – si profond que même la pluie ne peut pas affaiblir son moral.
Du chant charmant de Kelly aux claquettes imitant le rythme, la chanson donne vie à la scène. Ce qui serait au départ un simple enregistrement de Kelly barbotant devient un spectacle fascinant de coordination.
En fait, tous les acteurs ont dû interpréter leurs numéros de claquettes sous la pluie. Après avoir enregistré les mouvements sur film, ils ont dû enregistrer l’audio des claquettes et le superposer avec le son original du film pour plus de clarté.
Alors que toutes les chansons fonctionnent les unes à côté des autres comme des pièces de puzzle, ce sont « Good Morning » et « Singin’ in the Rain » qui me font toujours sourire, m’incitent à chanter et égayent ma journée. L’acceptation générale du film comme l’un des meilleurs films de tous les temps prouve que ces chiffres ont fait sourire d’innombrables personnes.
« Singin’ in the Rain » a suscité mon amour pour le cinéma. Cela me montre à quel point un film, ou une comédie musicale, est véritablement capable de s’ancrer dans le cœur des spectateurs. Cela ne veut pas dire que le film est sans défauts. Il y a des exemples de nuances sexistes et une représentation en arrière-plan de visage noir. Certains diront peut-être que c’est simplement dû aux normes sociales de l’époque du film.
En fin de compte, il y a une vraie joie dans ce film. Ses défauts remettent en question à qui cette joie était destinée, mais je vous encourage à essayer ce film et à le laisser vous saisir alors qu’il prend vie.
Note de l’éditeur : cet article est une revue et comprend des réflexions, des opinions et des critiques subjectives.
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