Sole comédie: “Tartuffe” au Vienne Burgtheater

Die meisten Komödien Molières sind Stücke über starrsinnige Charaktere. Der Protagonist ist jeweils ganz Geiz, ganz Hypochondrie oder ganz Aufstiegswille. Er ist monomanisch, und das erzeugt Komik. Seine Familien werden durch die Unzugänglichkeit des Hausvaters in die Verzweiflung getrieben, der gute Ausgang des Dramas, vor allem die Heiratsabsicht seiner Kinder, hängt davon ab, den Hauptcharakter von seiner fixen Idee zu lösen. Es sind therapeutische Dramen.

In „Tartuffe“, einem der beiden größten Stücke Molières, ist das anders. Der Titelheld pflegt keine Monomanie. Er ist im Gegenteil ein sehr flexibler Heuchler, gibt umfassende Frömmigkeit vor, redet sich stets auf den Himmel hinaus, ist aber hinter dem Rock der Ehefrau seines Wohltäters her, von seinem Willen ganz zu schweigen, sich das Haus seines Gönners anzueignen. Er ist ein Schauspieler falscher Devotion.

Monomanisch scheint hingegen Orgon, der Hausherr, sein Wirtstier. Er will nichts auf den Heuchler kommen lassen, den er nicht durchschaut, sondern blind verehrt. Tartuffe ist für ihn, wie man sein soll. Insofern verabsolutiert aber auch er keinen Charakterzug, sondern eine soziale Beziehung. Er ist fixiert nicht auf sich, sondern auf einen anderen. An Tartuffe bindet ihn eine erotische, fast homosexuelle Hingabe.

Am Wiener Burgtheater spielt jetzt Bibiana Beglau den Tartuffe. Das ist kein beliebiger Regieeinfall, sondern begründet in der Deutung des Stücks. Barbara Frey interpretiert es als das Drama einer Familie, deren innere Spannungen geradezu nach einer Figur lechzen, die sie ausnützt. Alle sind verklemmt, alle machen einander etwas vor, vor allem Liebe. Wer nicht verklemmt ist, wie Cléante, der onkelhafte Prediger des goldenen Mittelwegs in allen Fragen, ist ein Besserwisser. Hin und wieder stellen sich alle auf der Bühne, in deren Hintergrund den ganzen Abend lang Regen an großen Fenstern herabfließt, wie für ein Gruppenporträt zusammen. Oder sie drängen sich auf den Loungesesseln, als gebe erst das ihnen Halt, im Sitzen. Die meisten tragen sehr eng anliegende Klamotten in Rosa und Beige, Markus Scheumann als Cléante ist regelrecht ausgestopft. Ständig zwängen sich die Darsteller durch Türen, auch das Haus liegt also zu eng an.

Dans les discours sur leurs relations, tout le monde a couvert le prêt érotique qu’ils peuvent réclamer. Personne n’est attirant, le moins les enfants et leur fiancée. Sarah Viktoria Frick en particulier ne fait pas face à son corps dans le deuxième rôle de pantalon dans le deuxième rôle de pantalon. Tout au plus, la grand-mère de la caresse dans le manteau de fourrure semble souverain. Cependant, elle, une merveilleusement grondée de Barbara Petritsch, est tombée le plus au fraudeur parce qu’elle a besoin de lui pour pouvoir tirer sa famille. La fonction de Tartuffe dans la pièce est que tout le monde “cuit des ennuis” quand il est loué. Orgon, en tant que paquet de nerfs, joué à merveille par Michael Maertens, persuade de croire en l’hypocrite en liant sa propre autorité dans cette croyance. Fondamentalement, c’est la simple embarras. À quelle fréquence ne rugisse-t-il pas “se taire!” Parce qu’il ne supporte pas la vérité?

Le parasite tartuffe niche dans cette famille, stimule leurs faiblesses. Contrairement aux précurseurs célèbres, Bibiana Begrau le donne comme un zaleur froid et cruel, comme des chiffons dégoûtants de l’allée ou de psychopathes. Quand il apparaît enfin après que les controverses les plus violentes ont été conduites sur lui, il surprend. L’accompagnement parle tranquillement, sans rythmes forts, se déplace couramment, presque flexible. Tartuffe est tellement, avec le serviteur Dorine, qui est magnifique – “I monologue” -, énergiquement et boiteux de Katharina Lorenz, la seule figure de la soirée qui n’a rien de ridicule. Tartuffe, le “comédien”, n’est pas étrange pendant une seconde.

Pas même lorsqu’il s’approche d’Elmire, l’épouse d’Orgons. L’épingle avec Maria Happel est un coup d’État. Le mince et danse tarte étouffant dans un costume de soirée noir avec un gilet sans chemise et le dralle, martelant Elmire avec une partie de cheveux blâmée, qui a été dépouillée d’une robe rose avec des motifs de fleurs sur la figure d’inscavetteurs – si vous jouez une scène de séduction ? Elmire ne sait même pas comment vous vous passerez, du moins c’est comme ça qu’elle joue, Happel joue perplexe, embarrassé et dépassé.

Moliére fait répéter cette scène, maintenant avec Orgon comme témoin sous la table. Il devrait voir ou du moins entendre ce qu’il ne croyait pas aux tiers. Avant cela, le morceau d’une communication constante était constamment en cercle. Dans un cercle, car il ne peut pas être vu d’après les mots s’ils sont honnêtes. Les mensonges ont la même grammaire et le même vocabulaire que les vérités. De plus, comme il est dit en un endroit, vous aimez entrer dans le piège que vous aimez, ne voyez pas quels autres yeux sont en tête, sans entendre ce qui a été dit. La grand-mère, Orgon en devient folle, même doute de la tentative de tentative de séduction par l’invité de la maison. Ce n’est que lorsque Tartuffe laisse la maison claire, ce qui a longtemps été entendu par don qu’il devient clair.

Les comédies se déroulent généralement bien. À Vienne, le nœud résout une conférence sur l’exposition de Tartuffe par le souverain, qui était longtemps soupçonné d’être un escroc, et dans sa sagesse et son amour pour le vrai, le noble, le pur, etc. . . Rex ex Machina, ici de la sous-machine. Barbara Frey est trop colorée en tant que Moliéres final bon marché, et elle a le rabat sur les éloges du Sun King, l’interrompt au milieu de la phrase. Nous voyons Tart étouffant en silence sous la pluie, comme si le réalisateur voulait dire: cette comédie se déroule bien mais triste.