Près de 1,6 million de téléspectateurs sont tombés sous le charme, en moyenne chaque dimanche soir, des aventuriers campeurs de la saison 1. La téléréalité d’aventure Sortez-moi d’ici!est de retour pour une seconde saison qui promet d’être encore plus surprenante, humide, sauvage et effrayante que la première. Le Journala discuté avec quatre des neuf campeurs: les animatrices Patricia Paquin et Clodine Desrochers, l’humoriste Philippe Laprise et la comédienne Audrey Roger.
Pourquoi avez-vous dit oui à cette expérience?
Patricia«On m’a appelée relativement tôt dans le processus et les émissions de la saison 1 n’étaient pas encore commencées, donc je ne savais pas vraiment dans quoi je m’embarquais au départ. Et plus les émissions avancent, plus tu te dis: ah OK, c’est à ça que j’ai dit oui.»
Clodine : strong> «Moi, j’ai été approchée en avril donc j’ai eu le temps de voir une partie de la saison 1 et je me disais moi-même: qu’est-ce que je dirais si on m’appelait. Quand j’ai eu l’appel: cela a été un mélange d’excitation et de me dire: est-ce que c’est vrai que je vais dire oui. J’avais peur de moi-même. Finalement, j’ai trouvé que c’était une occasion unique de vivre quelque chose que je ne revivrai plus jamais dans ma vie et le ravir de lâcher prise. J’ai dû y réfléchir pendant quelques jours. Et comme on ne m’avait pas vue à la télé depuis longtemps, j’étais d’autant plus étonnée qu’on me contacte.”
Audrey: strong> “J’avais eu le temps de voir quelques épisodes et la première chose qui m’était passée à l’esprit était: ah, les chanceux, j’aimerais tellement faire ça moi aussi. Ce n’est pas le genre de truc auquel j’appliquerais, mais qui me tomberait dessus. Je n’avais pas d’autre choix que de dire oui.”
Philippe: strong> “J’ai écrit un courriel pour participer au même moment où ils m’ont écrit pour participer. J’avais l’impression que j’étais rendu là dans ma vie: me challenger dans quelque chose que jamais je n’aurais pensé. Tout le monde pense que je suis la princesse qui aime les beaux hôtels, mais j’avais cette envie de me mettre au défi dans une jeu qui n’était pas sociale, sans clan ni ennemis.”
La plus grande peur surmontée? Votre plus grosse frayeur?
Philippe: strong> “Moi, ce sont les hauteurs. Je suis passé à travers les hauteurs et je suis content de l’avoir fait. Mais sincèrement, tout faisait peur. Il n’y a rien d’agréable à avoir une tarentule ou un serpent sur soi, ou un crabe dans les bobettes (rires).”
Patricia: strong> “Je pense que la plupart d’entre nous, on ne redoutait pas la vie au camp. En revanche, effectivement, il y en a qui n’avaient pas envie de manger des animaux et certains avaient des phobies très précises, comme Audrey.”
Audrey : strong> “Oui, je suis à la base très trypophobiaque; tout ce qui a rapport avec les trous, les verrues, les amas de trous. Comme les crapauds, pour moi ce n’est vraiment pas possible. Mais j’en ai vu de très proche.”
Patricia: strong> “Je n’aime pas tant les bibittes, mais je m’étais un peu concentrée sur le fait qu’ils seraient autour de moi dans une position statique. J’avais fait de la visualisation, mais je n’avais pas visualisé de l’eau autour de moi et qu’ils seraient aussi invasifs. Ça, je n’étais pas préparée à ça.” (* Sans trop en dire, sachez que Patricia Paquin relève un défi particulièrement angoissant lors de son entrée dans le jeu.)
Philippe: strong> “Ça m’a impressionné de voir qu’on a tous passé dans cette espèce d’entonnoir qui nous permet d’arriver devant nos peurs et de réaliser qu’on a plus d’habiletés qu’on le pense.”
Oublie-t-on la caméra quand on a si peur?
Patricia : strong> «Oui! Dès que tu as le pied dans l’aventure, à la minute, à la seconde, tu as un lâcher-prise instantané. »
Philippe : strong> «On a toujours une porte de sortie aussi, en disant: Sortez-moi d’ici! Elle a été utilisée quelques fois, mais rarement. Moi j’ai atteint mes limites quelques fois où j’ai dû dire: OK, là, je suis à ma
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