Soutien de l’Institut français à la structuration de la filière de la danse en Afrique

Soutien de l’Institut français à la structuration de la filière de la danse en Afrique

L’institut français soutient la structuration de la filière de la danse en Afrique avec notamment deux programmes, la Biennale de la danse en Afrique et le programme Résidanses.

La Biennale de la danse en Afrique

La Biennale de la danse en Afrique est une manifestation majeure pour consolider le développement et la visibilité de la création chorégraphique sur le continent. Accompagnée par l’Institut français depuis sa création il y a près de 30 ans, l’originalité de cet évènement est d’être itinérant et de s’appuyer sur des festivals portés par des opérateurs culturels du continent. Plateforme de découverte et de diffusion reconnue, elle attire des professionnels de la danse, programmateurs et journalistes du monde entier.

Un comité artistique réunissant des chorégraphes et opérateurs du continent

La dynamique de la Biennale de la danse est accompagnée par un comité́ artistique, composé de chorégraphes et acteurs clés de la danse en Afrique : Hafiz Dhaou (Tunisie), Taoufik Izzediou (Maroc), Qudus Onikeku (Nigéria), Salia Sanou (Burkina Faso), Virginie Dupray (France) et Quito Tembe (Mozambique).

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La programmation de Quito Tembe à Maputo

Audacieuse et engagée, cette nouvelle édition au Mozambique, du 20 au 26 novembre se donne pour objectif de constituer une réelle vitrine de la danse contemporaine en Afrique, avec un éclairage particulier sur la danse d’Afrique de l’Est et d’Afrique australe. Durant six jours, la ville accueillera de nombreux artistes et chorégraphes africains émergents, dont sept jeunes chorégraphes soutenus par le programme “Résidanses” : Daouda Keita, Mohamed Lamqayassi, Kossivi Afiadegnigban, Mai Julie, Judith Olivia, Carolina Manuel, Rita Couto. Cette édition s’attache à explorer des enjeux essentiels, à questionner l’expression du genre, le changement climatique ou encore les mutations sociales et les discriminations raciales. En plus des pièces chorégraphiques, la Biennale développera une plateforme de formations, de soutiens à la scène émergente et de rencontres entre artistes et professionnels.

Des journées professionnelles Accès Culture

Adossé à la Biennale, un événement Accès Culture sera également organisé le vendredi 24 novembre, sous forme de Journées professionnelles. Ainsi, une vingtaine d’opérateurs africains et français ayant un intérêt pour la danse ou plus largement pour le spectacle vivant sont conviés à prendre part à l’évènement.
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