2024-09-14 02:42:49
Pendant ce temps, Keir Starmer, lors de son deuxième voyage aux États-Unis depuis son entrée en fonction en juillet, a déclaré que la prochaine phase de la guerre pourrait être « cruciale ».
« Je pense que les prochaines semaines et les prochains mois pourraient être cruciaux, très importants et que nous soutenons l’Ukraine dans cette guerre vitale pour la liberté », a déclaré le dirigeant britannique.
Il aurait pu faire allusion à de multiples développements.
La Russie tente de gagner du terrain à Donetsk, dans l’est de l’Ukraine, notamment autour de la ville de Pokrovsk.
Elle lance également une contre-offensive dans sa région frontalière de Koursk, après l’incursion surprise de l’Ukraine sur son territoire le mois dernier.
L’hiver approche à grands pas et les activités militaires seront alors beaucoup plus difficiles pour les deux camps.
Et, dans moins de deux mois, les électeurs américains seront appelés à choisir le prochain occupant de la Maison Blanche.
Starmer a également salué les liens traditionnellement étroits entre les États-Unis et le Royaume-Uni.
« Historiquement, nous avons démontré la force de notre relation. Nous sommes stratégiquement alignés et nous avons une cause commune sur ces questions mondiales », a-t-il déclaré.
En plus de discuter de la guerre en cours en Ukraine, les deux hommes devraient également aborder la nécessité d’un accord sur les otages et un cessez-le-feu au Moyen-Orient, et discuter de la région indo-pacifique.
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