L’épuisement déguisé en force est une observation fréquente. Nous pensons qu’être toujours occupé est synonyme de succès. le prix à payer pour atteindre nos objectifs serait un épuisement extrême. Avez-vous évalué le coût réel de ce rythme ?
J’ai longtemps été prise à ce piège. En tant que professionnelle, entrepreneure et mère, j’exigeais le maximum de moi-même. Je croyais pouvoir tout gérer sans conséquences. Un jour, mon corps a dit stop. Stress chronique,fatigue mentale,déconnexion émotionnelle… J’avais l’impression d’être dans une roue impossible à arrêter.
J’ai compris que le succès ne se mesure pas qu’en réalisations. il se mesure aussi à notre bien-être pendant que nous atteignons nos buts.J’ai appris à différencier le stress productif (celui qui motive) du stress destructif (celui qui épuise).
Il est aussi notable de gérer son énergie que son temps.Voici un exercice simple : chaque jour, avant de terminer, demandez-vous : « Quelle quantité d’énergie me reste-t-il aujourd’hui ? ». Si la réponse est « aucune » de manière répétée, il faut agir.
Un bon point de départ est la règle du 3-2-1 :
3 pauses conscientes par jour (5 minutes pour respirer).
2 activités quotidiennes nourrissantes (lecture, marche, musique).
* 1 rituel de fin de journée (sans écrans, sans soucis).
Mener sa vie ne signifie pas s’épuiser. Que ce soit au travail, en famille ou personnellement. L’autonomie commence par prendre soin de soi. Si vous allez bien, tout va mieux.
Je vous propose d’intégrer un changement pour mieux gérer votre énergie.
Prêt à relever le défi ?
L’art de gérer son énergie est essentiel pour un dirigeant [[3]]. L’énergie positive est rarement innée, elle est volontaire.Elle est générée par le dirigeant.Elle se manifeste dans la préparation, dans la pensée, dans le langage corporel. Elle se diffuse à travers l’organisation [[3]].
L’auto-gestion est la base de l’indépendance en leadership [[2]]. Elle englobe la maîtrise de l’énergie, des ressources et de soi-même. les leaders autonomes maîtrisent l’auto-discipline. Ils construisent une base solide [[2]].
Oui, le coût réel de ce rythme effréné est un épuisement extrême, comme le souligne le texte. L’expérience personnelle relatée illustre parfaitement ce prix à payer : stress chronique, fatigue mentale, déconnexion émotionnelle et sentiment d’être pris dans une roue infernale. Le texte met en lumière la croyance erronée selon laquelle être constamment occupé équivaut à du succès, alors que le véritable succès inclut le bien-être personnel. La gestion de l’énergie,aussi importante que la gestion du temps, est essentielle pour éviter cet épuisement déguisé en force. L’exemple de la règle « 3-2-1 » (3 pauses conscientes, 2 activités nourrissantes, 1 rituel de fin de journée) propose une stratégie concrète pour mieux gérer son énergie et prévenir un burn-out.