2025-02-06 19:34:00
Vielleicht müsste man Österreicher sein, um zu verstehen, wie sich die rot-weiß-rote Ski-Nation gefühlt hat in den vergangenen Wochen. Und wie sie sich nun fühlt, nach der ersten Goldmedaille bei der alpinen Ski-WM in Saalbach-Hinterglemm. Nach dem eigentlich ungeliebten aber dann doch zum Top-Wettbewerb hochstilisierten Teamevent, bei dem es nur zum sechsten Platz gereicht hatte, war schon fast Resignation zu spüren. Viele Medien im Land der Berge vermittelten ebenso das Gefühl, diese WM sei kaum mehr zu retten für Österreich nach diesem verpatzten Auftakt.
Nach dem überraschenden Sieg von Stephanie Venier im Super-G am Donnerstag sieht sich Österreich zwar vielleicht noch nicht wieder als Ski-Großmacht. Aber im Medaillenspiegel nach zwei Wettbewerben vor der Schweiz zu stehen, jenem Rivalen, der den Weltcup so haushoch dominiert, ist für das Selbstwertgefühl wichtig. Die WM, das steht für die Gastgeber seit Donnerstag fest, wird auf jeden Fall ein riesengroßer Erfolg.
Man muss wissen, dass Österreich zur Übertreibung neigt, wenn es um Skifahren geht. Venier wurde auf ihrem Weg vorbei an den Mikrofonen immer wieder als große Retterin ihres Landes gefeiert. Sie selbst blieb wohltuend unaufgeregt. „Es klingt komisch, wenn man sagt, ich habe die Nation erlöst“, sagte. „Ich fahre in erster Linie für mich. Aber klar, für die Nation ist es gut.“
La présidente de l’Association de ski autrichienne, Roswitha Stadlober, a fait savoir à ORF qu’elle avait des “chair de poule et des larmes aux yeux” lorsque Venier a terminé avec le meilleur moment. À ce moment, il était soupçonné que cela pouvait au moins être quelque chose avec la première médaille, car le plus grand favori pour le titre, la Federica Brignone italienne, était dix centièmes de seconde. Lorsque les autres favoris sur le métal précieux, Lara Gut-Behrami de Suisse et son coéquipier de Brignone, Sofia Goggia, sont restés derrière le temps de Vernier, c’est devenu une certitude.
Emma Aicher à la sixième place
L’Autrichien n’avait qu’à devenir un peu nerveux deux fois. Une fois aux temps intermédiaires de Lauren Macuga des États-Unis, qui a finalement aligné jusqu’à la troisième place – en même temps que Kajsa Vickhoff Lie (Norvège). L’autre temps chez Emma Aicher. En plus de Venier, les jeunes Allemands ont fourni la plus grande surprise de cette première compétition individuelle de la Coupe du monde. Aicher avait déjà un déficit facile dans la section supérieure de l’itinéraire, où de nombreux athlètes pouvaient toujours suivre Vernier ou même plus rapidement. Mais le polyvalent de 21 ans de SV Mahlstetten n’a ensuite perdu que quatre dixièmes de seconde contre le vainqueur et s’est finalement retrouvé à la sixième place – et donc juste avant l’intestin.
Quand elle a sauté sur la ligne d’arrivée, elle a déchiré ses bras. Son applaudissement sur le deuxième meilleur résultat super-G de sa carrière et le meilleur depuis près de deux ans a été presque aussi grand que la bonne demi-heure de Stephanie Venier. Elle avait déjà montré qu’Aicher avec la pente de la Coupe du monde sur le Zwölferkogel se débrouillait bien dans les deux courses d’entraînement pour le départ samedi. L’autre allemand, Kira Weidle-Winkelmann de Starnberg, a mis fin au Super-G comme 23 ans. Lindsey Vonn n’est pas allée aussi loin: l’éminent rapatrié a conduit dans un but et s’est blessé au bras.
Ricarda Haaser a empiré. Elle était tombée après un saut peu avant l’arrivée et avait subi une fissure du ligament croisé à l’automne et une déchirure du ménisque intérieur au genou droit. Selon l’association, le joueur de 31 ans est opéré dans une clinique près d’Innsbruck. “La chance et la malchance sont si proches les unes des autres”, a déclaré le président Stadlober sur ORF.
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