2025-02-07 20:05:00
En Suisse, plus de 90 milliards de francs sont hérités chaque année, qui ne sont pas taxés ou taxés de différentes manières selon le lieu de résidence. Cela conduit à l’augmentation des actifs. Depuis l’année dernière, une initiative souhaite contrer cette évolution.
Un patchwork déroutant: Aucune taxe, la différence cantonale est aussi frappante que dans la taxe sur les successions. Alors que tous les héritiers sont libérés d’une taxe sur les successions dans les cantons de Schwyz et Obwalden, par exemple, à Lucerne et Neuchâtel, même les propres enfants du testateur paient. Dans le canton de Bâle-Stadt, la taxe maximale pour les héritiers non liés est de près de 50%.
Juso Suisse veut l’impôt pour Super Rich: Une nouvelle initiative populaire est sur la table du gouvernement fédéral depuis l’année dernière. Dans «l’initiative pour un avenir», la Suisse Juso demande une imposition de 50% pour l’héritage de plus de 50 millions de CHF au niveau national. Les recettes fiscales devraient bénéficier à la protection du climat. L’objectif est de réduire les inégalités croissantes des propriétés et de taxer correctement la super-riche selon le principe de la cause de leur empreinte écologique. Cela correspond alors à une protection socialement juste climatique, explique Mirjam Hostmann, présidente de Juso Suisse.
Qui serait affecté par l’initiative? En Suisse, il y a environ 2500 ménages avec une fortune de plus de 50 millions de CHF. Parmi ceux-ci, 300 ménages ont des actifs de plus de 100 millions de francs et seraient affectés par la taxe prévue dans une large mesure. La grande majorité des petites et moyennes entreprises suisses n’auraient pas été affectées par la taxe sur les successions en raison de l’allocation de 50 millions de CHF.
Quelles sont les conséquences à prévoir? Marius Brülhart, professeur d’économie à l’Université de Lausanne, suppose que la super-riche migre de Suisse devrait être acceptée. L’essentiel est que le gouvernement fédéral et les cantons ne donnent pas nécessairement des recettes fiscales plus positives. En s’éloignant, un substrat fiscal important serait manquant. Il est également supposé si les cantons doivent augmenter leur revenu et leur impôt sur la richesse sur l’hypothèse de l’initiative afin de combler l’écart encouru dans les recettes fiscales. Cela affecterait à son tour tous les contribuables.
Y a-t-il des alternatives? L’initiative doit être rejetée, la question demeure comment l’actif croissant en Suisse peut encore être cuit à la vapeur? Un mélange équilibré entre l’actif et la taxe sur l’héritage serait concevable. Florian Scheuer, professeur d’économie à l’Université de Zurich, dont le président est financé par UBS, voit l’alternative dans un taux d’imposition nettement inférieur, par exemple, à 10% au lieu de 50%, comme l’initiative le demande. Et: une révision de la taxe sur les successions est importante, car cela contribue à l’égalité des chances: «dans laquelle la famille nous sommes née est le plus grand risque de ce que nous avons dans la vie. Et ce n’est rien que nous méritons », explique Florian Scheuer.
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