Terraformation/Géo-ingénierie : les nuages ​​se dissipent rapidement lors des éclipses solaires à mesure que la surface de la terre se refroidit

Terraformation/Géo-ingénierie : les nuages ​​se dissipent rapidement lors des éclipses solaires à mesure que la surface de la terre se refroidit

Modèle conceptuel de l’évolution des cumulus peu profonds lors d’une éclipse solaire Le temps progresse dans le sens horizontal vers la droite. L’ombrage de couleur d’arrière-plan indique la température potentielle virtuelle de l’atmosphère et de la surface terrestre dans notre simulation. Les flèches rouges et bleues représentent respectivement les flux de chaleur sensible et latente, qui dépendent fortement de la différence de température entre la surface et l’atmosphère juste au-dessus de la surface. Les flèches jaunes représentent la quantité de rayonnement solaire entrant, qui est la plus importante vers midi mais qui est réduite lors d’une éclipse solaire, comme l’illustre le disque lunaire recouvrant le disque solaire. Lorsque la hauteur croissante de la couche limite atmosphérique (ligne pointillée) croise le niveau de condensation ascendant (ligne pointillée), des nuages ​​se forment, mais ils diminuent lorsque les courants ascendants sont ralentis pendant une éclipse solaire, comme l’indique la plus petite inclinaison du noir. flèche. — astro-ph.EP

Les nuages ​​affectés par les éclipses solaires pourraient influencer la réflexion de la lumière du soleil dans l’espace et modifier les régimes de précipitations locales.

Les récupérations de nuages ​​par satellite n’ont jusqu’à présent pas pris en compte l’ombre lunaire, ce qui empêche une évaluation spatiale fiable de l’évolution des nuages ​​induite par l’éclipse. Ici, nous utilisons des mesures de nuages ​​par satellite lors de trois éclipses solaires entre 2005 et 2016 qui ont été corrigées pour l’ombre partielle de la Lune, ainsi que des simulations de grands tourbillons pour analyser l’évolution des nuages ​​induite par l’éclipse. Nos données corrigées révèlent qu’au cours du refroidissement des surfaces terrestres, les cumulus peu profonds commencent à disparaître au niveau de très petites obscurcissements solaires.

Ces résultats devraient stimuler les simulations sur modèles nuageux des conséquences directes des propositions de géo-ingénierie d’interception de la lumière solaire, pour lesquelles nos résultats servent de référence unique.

Victor JH Trees, Stephan R. de Roode, Job I. Wiltink, Jan Fokke Meirink, Ping Wang, Piet Stammes, A. Pier Siebesma

Sujets : Physique atmosphérique et océanique (physics.ao-ph) ; Astrophysique terrestre et planétaire (astro-ph.EP) ; Astrophysique Solaire et Stellaire (astro-ph.SR) ; Géophysique (physics.geo-ph)
Citer comme : arXiv:2402.08510 [physics.ao-ph] (ou arXiv :2402.08510v1 [physics.ao-ph] pour cette version)
Référence de la revue : Nature Communications Earth & Environment 5, 2024, 71
DOI associé :
https://doi.org/10.1038/s43247-024-01213-0
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Historique des soumissions
De : Arbres Victor
[v1] Mardi 13 février 2024 15:05:07 UTC (21 585 Ko)
https://arxiv.org/abs/2402.08510
Astrobiologie

Membre de l’Explorers Club, ancien responsable de la charge utile de la Station spatiale de la NASA/biologiste spatial, équipes extérieures, journaliste, grimpeur périmé, synesthète, mélange Na’Vi-Jedi-Freman-Bouddhiste, ASL, vétéran de l’île Devon et du camp de base de l’Everest, (il/ lui) ????????

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