The Coral, critique de leur album Sea Of Mirrors (2023)

The Coral, critique de leur album Sea Of Mirrors (2023)

2023-09-16 08:57:41

Quoi Le Corail Ils ont toujours été fascinés par les sons rétro et vintage redevables aux années soixante, c’est une évidence. En fait, les gens du Merseyside ont placé ce type de préférences dans chacun de leurs albums, généralement entrecoupés d’indie-pop un peu plus actuelle, précisément avec l’intention plus que possible de restituer leur son dans la bonne mesure et même de paraître valable. Une technique qui, au cours de deux décennies d’expérience, les a aidés à créer des albums remarquables avec une essence mystique et une apparence aussi attrayante que leur premier album de 2002, « Magie et médecine » (Deltasonique, 03), « Racines et échos » (Deltasonique, 07), «Maison des papillons» (Deltasonic, 10) ou le plus récent « Île de Corail » (Courir, 21).

Désormais, le quintette se passe de ces mises à jour pour mettre fièrement en lumière toutes ces mèches qui l’ont protégé au fil des années et de tous les temps. Le groupe valorise son apparence passée avec moins de dissimulation que jamais, après avoir parié sur des échos de Love, Syd Barrett, Townes Van Zandt, The Byrds, Neil Young ou The Band qui résonnent plus fidèlement que jamais par rapport aux originaux.. « Mer de miroirs » Il s’agit d’un condensé de psych-folk-rock au parfum country ponctuel, tissé avec le bon goût habituel du groupe, et faisant preuve d’un soin particulier dans l’aspect des mélodies qui illuminent naturellement chacun des treize morceaux inclus ici.

Bien que doté d’une impulsion constante qui ralentit parfois légèrement le développement, la vérité est que le nouveau travail de Le Corail Il présente une série généreuse d’arrangements bien placés et, dans son ensemble, il présente une apparence magnifique qui, comme il ne pourrait en être autrement compte tenu de son essence même, est flatteuse pour les compositions elles-mêmes. Quelques chansons inspirées et élégantes, parmi lesquelles se démarquent les singles « Mondes lointains » oui “C’est là qu’elle appartient”la « cow-girl » “Oiseau sauvage” qui a une suite logique dans “Vent du Nord”, “Cycles des saisons”, le morceau accrocheur qui donne son titre à la référence, un “La façon dont tu es” débiteur des Zombies u « Océans à part » comme une clôture appropriée.

Un album qui, comme attraction supplémentaire, présente les collaborations du guitariste Bill Ryder-Jones – qui était à l’époque membre fondateur du combo – et surtout celle de Sean O’Hagan du groupe jamais assez noté The High Llamas, qui Il apporte la même empreinte distinguée avec laquelle il insuffle à son groupe depuis les années quatre-vingt-dix. En attendant de recevoir «Salon de médecine de Holy Joe’s Coral Island» (Run On, 23), le deuxième album imminent que les Britanniques envisagent de lancer cette saison, vaut la peine d’être accepté « Mer de miroirs » comme une nouvelle encoche dans le catalogue déjà étendu appartenant à Le Corail. Sûrement, le profil le plus classique laissé par la formation dans son revolver à ce jour.



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