Aéroport international de Ji.hlava Festival du film documentaire, qui se déroule du 25 au 30 octobre, a dévoilé Opus Bonum, sa section compétition internationale. La programmation de 16 personnes comprend huit premières mondiales.
Andréa Petit“La fin n’est pas ce que je pensais que ce serait”, des États-Unis, se déroule pendant la pandémie. Kleine, l’auteur des romans “Calf” et “Eden”, est vue en train de jouer des comédies, des monologues et de la musique dans un théâtre sans public.
Le film américain « Cisco Kid » d’Emily Allen met en scène une jeune femme vivant au milieu d’un vaste désert de l’Ouest américain, dans les ruines d’une ville où les derniers habitants excentriques luttent pour survivre.
Canada’s “Bloom” de Fanie Pelletier suit trois groupes de petites amies adolescentes du Québec, qui traversent des changements difficiles dans leur vie, comme le montrent les vidéos qu’elles publient en ligne.
“Deserters” de Croatie, du réalisateur Damir Markovina, se penche sur la guerre de Bosnie dans les années 1990 à l’aide de photos et de lettres d’anciens camarades de classe de Mostar.
Le film tchèque “The Investigator”, du réalisateur Viktor Portel, se penche sur les crimes de guerre commis dans l’ex-Yougoslavie et se concentre sur un enquêteur de la Cour pénale internationale de La Haye.
Une autre première mondiale est « Over Our Hills » de la Suisse, du réalisateur Mateo Ybarra, dans lequel de jeunes hommes en cours de service militaire discutent de l’expérience, tandis que des hommes plus âgés reviennent sur leur temps dans l’armée.
« Shift » du réalisateur slovaque Jaro Vojtek est une enquête sur la vie de trois personnages dont les relations familiales s’effondrent en raison de leur travail à l’étranger.
“Yoyogi” du réalisateur estonien Max Golomidov se concentre sur un parc de Tokyo et capture ses visiteurs.
“Terra in Vista”, réalisé par les Italiens Mattia Petullà et Giulia Angrisani, est l’une des sept premières internationales. Il suit les cueilleurs de fruits alors qu’ils se déplacent du Danemark vers la France et l’Espagne.
Dans « 07h15 – Merle noir », réalisé par Judith Auffray, un vieil ermite et une jeune fille entendent un jour le chant d’un oiseau inconnu, et partent à sa recherche dans la forêt et une mine abandonnée.
“A Silent Gaze” de Hsin-Yao Huang est un film documentaire contemplatif sur le sentiment d’intemporalité dans une communauté rurale de Taiwan.
“Boom Boom” du réalisateur français Laurie Lassalle capture la passion des manifestants Yellow Vest.
“Greater Gospel” du réalisateur espagnol Javier Codesal se déroule dans une maison de retraite pour personnes âgées LGTBIQ +.
“Just Be There” du réalisateur Caspar Pfaundler en Autriche se déplace entre les répétitions de danse du Vienna State Ballet et du Cloud Gate Dance Theatre à Taiwan.
“Kristos, le dernier enfant”, de la réalisatrice franco-italienne Giulia Amati, se rend sur l’île grecque d’Arki, habitée par un millier de chèvres, mais seulement 30 personnes. Parmi eux se trouve un enfant célibataire, un garçon nommé Kristos.
« Autoportrait » de la Canadienne Joële Walinga est une première européenne. Il utilise des images de caméras de sécurité de diverses régions du Canada pour révéler la beauté des espaces industriels, des bâtiments privés et des paysages naturels.