« The Mandalorian », une nouvelle aventure épique pour Mando et Baby Yoda – Corriere.it

« The Mandalorian », une nouvelle aventure épique pour Mando et Baby Yoda – Corriere.it
De Francesca Scorcucchi

La série du monde infini de “Star Wars” fait ses débuts le 1er mars. Scénariste Jon Favreau : « Des histoires simples, de héros et de mythes, auxquelles la technologie offre des scénarios sans limites »

«L’histoire a des chemins qui sont toujours les mêmes, les démocraties émergent puis disparaissent, depuis le début des temps, de Jules César à Napoléon, elles sont toujours en danger et peuvent se terminer très rapidement s’il y a des circonstances politiques pour que cela se produise. Cette répétition du même schéma est la toile de fond de notre histoire. Jon Favreau est le showrunner de “Le Mandalorien”la série tirée du monde infini de « Star Wars » dont la troisième saison débute aujourd’hui, mercredi 1er mars, le Disney+et lorsqu’on lui a demandé où le voyage mènera ses protagonistes, Din Djarin, le Mandalorien, interprété par Pedro Pascal (“Le dernier d’entre nous”) et ses adorable petit amical Bébé Yoda, explique : « Deux ans se sont écoulés et vous pouvez voir l’évolution de leur relation. Le Mandalorien, ancien chasseur de prime solitaire, maintenant il a une famille et cet enfant qu’il a sauvé grandit. Derrière eux se cache le chaos qui se prépare alors que la Nouvelle République tente de s’enraciner et que l’Empire disparaît. Il y a une immense quantité de destruction et de grandes luttes intestines.”

Il y a, en somme, Mondial inventé par George Lucas, qui a toujours eu de profondes racines dans la faiblesse humaine. «Certaines histoires fantastiques prennent une importance nouvelle, elles sont une façon d’expliquer l’histoire aujourd’hui que l’on n’étudie plus l’histoire à l’école comme autrefois. Une façon de transmettre le savoir des anciennes générations aux nouvelles. Combien de fois le sagesse de Yoda est-il évoqué dans la vie de tous les jours, par des générations d’êtres humains ?». Le monde de «Star Wars» comme un seul leçon d’histoire. Si George Lucas le disait, il serait présomptueux, mais Jon Favreau le fait, qui un jour, il avait dix ans, entra dans une salle de cinéma avec son père : « Mes parents avaient rompu et mon père cherchait des moyens de amuser son fils les week-ends de père séparé. Le cinéma était l’un de ces moyens. On avait entendu parler de “Star Wars”, il y avait de l’anticipation, il y avait de longues files d’attente devant les salles, mais on ne savait pas de quoi il s’agissait. Nous nous sommes assis et avons été captivés par cette histoire. Je ne me souviens pas combien de fois nous sommes retournés le voir.

Maintenant le même dynamique familiale se répètent entre le Mandalorien et le bébé Yoda. « Il y a mon être fils mais aussi père. Quand à la fin de la deuxième saison le Mandalorien confie bébé Yoda à Luke Skywalker, dans cette salutation se trouve toute la dévastation que j’ai ressentie lorsque mon fils est allé à l’université l’année précédente. Ce mélange de tristesse et fierté qui représente l’émotion d’un père envers un fils qui grandit». Favreau a également une autre paternité à revendiquer. Il est considéré comme celui qui a inventé le genre comique tel que nous le connaissons aujourd’hui, à partir d’Iron Man. Mais y a-t-il, après vingt ans de BD au cinéma, encore de la place pour quelque chose de nouveau ? «Je le pense vraiment, parce qu’il s’agit histoires simples, de héros et de mythes, et si autrefois les limites étaient imposées par la technologie, aujourd’hui ces limites n’existent plus, au contraire. Là réalité virtuellel’intelligence artificielle, la apprentissage automatique ils offrent de nouveaux scénarios, dans lesquels le monde de la bande dessinée peut danser magnifiquement».

1er mars 2023 (changement 1er mars 2023 | 11h15)

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.