The Smashing Pumpkins – Atum: Un opéra rock en trois actes (Acte II)

The Smashing Pumpkins – Atum: Un opéra rock en trois actes (Acte II)

2023-05-07 14:03:42

par Olivier
le 7 mai 2023
dans l’album

Publié en trois tomes Atum : Un opéra rock en trois actes est le douzième album studio Écraser des citrouilles le successeur officiel de Mélan Collie et la Tristesse Infinie ainsi que Machina/Les Machines de Dieu.

Subjectivement parlant, quelques mois d’écart ont certes permis une sorte de paix bienveillante avec la première partie de l’œuvre complète d’Atum : malgré la production attentatoire à la réputation de Billy Corgan, certains passages se sont bloqués de manière étonnamment neutre, car il y avait du potentiel derrière les esthétique polarisante oui fondamentalement bon matériel avec beaucoup d’idées accrocheuses cachées – il pourrait si (expliqué dans des podcasts avec des employés de lutte et des astrologues dans le contexte narratif, mais tout simplement pas justifié par quoi que ce soit) Hourra ! une autre boucle insipide autour de la première partie néanmoins parfois honteuse de l’ensemble du paquet.
Même avec un intérêt tout au plus modéré, car un vent arrière peut Acte II à cet égard, conjuguée à des attentes relativisées et à des exigences corrigées jusqu’au sous-sol, connaît une naissance plus facile à bien des égards que son prédécesseur (troisième).
Sur ce seul point, la partie centrale de l’ensemble parvient à convaincre sans un instant de choc, d’autant plus qu’elle n’a pas à subir un échec total explicite ou un final qui s’effondre en termes de qualité comme son prédécesseur. Cependant, aussi parce que le niveau d’écriture de chansons en comparaison directe s’est avéré être un peu plus élevé dans l’ensemble, quelques rocks (en raison de la mise en scène latente sans âme restant une action alibi) (marteau de forgeron) le plus pop accrocheur de Acte I et le sentiment qu’il y a une bande (simulant vaguement des démarches démocratiques) derrière tout cela se devine au moins.

Alors quoi de neuf Atum : Un opéra rock en trois actes (Acte II) – qui le long de paroles cryptiques sans Béquilles de podcast mis à part le niveau musical et lyrique rugueux, vous n’arrivez toujours pas à raconter son histoire spatiale diffuse de manière compréhensible – à l’entendre dans toute son ambivalence ?
Eh bien, tout d’abord, une transition sacrément cahoteuse : consommez-vous le tout ? Atum en un seul morceau, prend le relais avalanche par Le masque d’or, la blague de percussion accrocheuse plus proche de la première partie, brisant de manière agaçante le flux en devant d’abord se réveiller du silence: un excellent exemple de tout le potentiel d’optimisation qui a été laissé sans surveillance dans le séquençage et les coutures. Si vous montez directement dans Acte II par contre, il suffit de passer par la redondance terne des intros typique de l’album pour arriver à un standard grondant dont les synthés sont en fait mis en scène de manière plus atmosphérique, tandis que la guitare est autorisée à hurler plus atmosphériquement et les arrangements des choristes théoriques Katie Cole et Sierra Swan ont réussi à se faire remarquer.
Dans l’air accrocheur pénétrant Empires un riff psychédélique serpente comme élément d’appui (même si même une telle “lourdeur” ne peut forcer une catharsis émotionnelle), qui dans sa simplicité banale est aussi beaucoup moins agaçante que l’éternelle boucle grinçante du titre de Corgan – un destin que l’agréable babillage synthpop depuis Néophyte partage, qui à un moment donné s’enlise dans sa mélancolie et vomit son “Ce n’est pas bien‘ passage répété. Une grande partie de l’écriture des chansons consiste maintenant en une répétition fastidieuse – dans le cas du point culminant d’une manière ou d’une autre Mousse il s’agit d’un battement stoïquement mélangé avec un riff de torréfaction plus lourd qui tourne en rond jusqu’à ce qu’un solo hurle comme s’il offrait une perspective. Mais les vrais accrocheurs sont les subtilités absurdes “Miaou miaou miaou“-chants d’accompagnement. Katzenjammer est toujours différent.

Vagues nocturnes est un filler immédiatement oublié sans aucune pertinence et Âge de l’espace plus éthéré et semblable à un hymne – en quelque sorte beau, mais aussi si exemplaire, sans engagement et sans toucher. Tous les matins prend d’abord beaucoup de temps pour se réveiller du délire spatial énervant, puis rêve avec Uff-Zack dans les années 80… et court simplement avec sa boîte à rythmes unidimensionnelle/Jimmy sans que rien ne se passe : une non-pertinence célébrée éclabousse dans le chanson inexplicablement la plus longue du disque comme une déclaration de l’état actuel du “groupe” qui sort ses albums sous le nom de Citrouilles-Bannière vendue cher.
La pop rock bien programmée Chez les Gris avec ses embellissements de guitare est tout aussi peu spectaculaire que Beguiled que Rammstein‘rocker lourd issu des ingrédients de formule MO avant la mélodie engageante et mélancolique de L’abattage s’endort presque dans le corset de l’esthétique. Mais dès que le solo élégiaque entre en symbiose avec les pans de clavier de l’ouverture de la chanson titre par Acte I envoyer : bien ! Et si au coup par coup Printemps se retrouve sur une guitare acoustique chaude avec un piano triste, c’est en fait une fin assez indulgente et cohérente.
Aussi grâce à ce départ on n’a pas à faire d’abord une paix bienveillante avec Acte II près de pouvoir vivre avec le record – l’égalité haussant les épaules que Corgan and Co. maintiennent ici pendant de longues périodes ne doit déranger personne après tout.



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