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The Smile, critique de votre discothèque Wall Of Eyes (2024)

The Smile, critique de votre discothèque Wall Of Eyes (2024)

2024-01-26 11:35:20

Quand nous avons découvert qu’une partie de Radiohead transitait vers Le sourire, la seule chose dont nous étions sûrs, c’était que le changement ne passerait pas inaperçu, car rien de ce que font ceux d’Oxford n’est que pour le plaisir. Avec votre premier échantillon, « Une lumière pour attirer l’attention » (22), qui a marqué une direction de larges gammes chromatiques sous la noirceur emblématique de ses compositeurs, nous avons pu découvrir un son nouveau et frais, qui a confirmé la créativité inextinguible de Thom Yorke et Jonny Greenwood, parfaitement complétés par Tom Skinner (Sons De Kemet).

Maintenant, au début de l’année, Le sourire ils osent “Mur des yeux”, une ode à toutes les fantaisies créatives et musicales des artistes pour nous laisser effondrés, suspendus dans les airs, le regard perdu et, en même temps, les sens pleinement fixés sur ce que nous proposent les trois artistes britanniques. Et ce qu’ils nous proposent, ce sont huit chansons – d’une durée de cinq à huit minutes – dans lesquelles ils nous invitent à entrer dans un autre monde qui est, une fois de plus, le reflet flou de ce qui nous entoure. Une expédition introspective où espoir et angoisse s’entremêlent, nous laissant dans un état de rêverie presque léthargique.

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L’album commence, sur la chanson titre, avec un Yorke chuchotant rampant sur une acoustique et des percussions tribales qui fournissent une lumière brumeuse. Une lumière qui, au fur et à mesure de l’album, mènera à un scénario presque progressif et labyrinthique basé sur les structures élaborées des chansons, avec leurs transitions et ces modulations que la gamme vocale impeccable de Yorke est capable de créer.

A tout cela on peut ajouter quelques arrangements de cordes exquis (“Ami d’un ami”, “J’ai arrêté”), la présence éblouissante du piano (“Vous me connaissez”) et la grande variété d’instruments qui vont et viennent tout au long du parcours.

Alors, encore une fois, Le sourire Ils nous convainquent amplement avec un “Mur des yeux” qui reflète mieux que quiconque ces temps de résilience, de force et d’amélioration, et qui demande à l’auditeur du calme, de la confiance et, surtout, du courage.



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