Thomas Müller comme au bon vieux temps quand le FC Bayern gagnait

Im Donaustadion hat sich am Freitagabend wohl so manch einer in die Vergangenheit zurückversetzt gefühlt. Denn gegen den Zweitliga-Aufsteiger SSV Ulm überzeugten nicht etwa die Neuzugänge, sondern in erster Linie jene Spieler, deren Tage beim FC Bayern München eigentlich schon gezählt schienen. Allen voran Thomas Müller, der wie zu alten Zeiten überall zu finden war, die sich bietenden Räume erkannte – und das Spiel früh mit zwei Toren in die erwartete Richtung lenkte.

„Wir waren seriös, aber nicht fehlerfrei. Wir wollten viel umsetzen von dem, was wir in den letzten Wochen erarbeitet haben”, sagte Müller nach dem Spiel im ZDF: Gegen den Ball und in den Zweikämpfen sei beim FC Bayern „schon ein deutlicher Unterschied zu erkennen zu dem, was uns letztes Jahr vielleicht nicht so gutgetan hat. Ich fand es einen guten Auftritt von uns, auch wenn es mit dem Ball noch ausbaufähig ist.”

Vor 17.400 Zuschauern im ausverkauften Donaustadion ging der FC Bayern gleich mit der ersten Chance in Führung: Erst traf Müller nach einer schönen Vorarbeit von Joshua Kimmich, der den Ball mit der Hacke mitgenommen hatte (12.). Dann musste Müller nach einem Steilpass von Min-jae Kim und guter Übersicht von Serge Gnabry nur noch aus kurzer Distanz einschieben (15.).

Im weiteren Verlauf plätscherte das Spiel ein bisschen vor sich hin, auch weil die Bayern nicht mehr taten, als von ihnen gefordert war. Wenn es einmal gefährlich wurde, dann vor allem über Raphaël Guerreiro, der immer wieder auf die halblinke Position rückte. So kam es dann auch, dass die Ulmer nach der Pause ihre beste Phase hatten und durch zwei große Chancen fast das 1:2 erzielten, die Felix Higl und Dennis Chessa aber nicht nutzen konnten (60.).

Dans la phase finale, le FC Bayern s’est un peu amélioré, notamment parce que les remplaçants ont fait irruption avec une nouvelle énergie. La nouvelle recrue Michael Olise a marqué son premier point pour le FC Bayern après seulement deux minutes en déjouant son adversaire après un long ballon de Harry Kane et en servant Kingsley Coman, qui a porté le score à 3-0 (79e). Quelques secondes avant la fin, Kane relevait à nouveau la tête (90.+3).

Lors des matchs tests, il était déjà clair quelle idée le nouvel entraîneur Vincent Kompany poursuivait avec le FC Bayern. Kompany a expliqué lors de son introduction qu’il souhaitait que son équipe joue un football « courageux » et « agressif », conçu pour mettre l’adversaire sous pression le plus tôt possible.

Contre Ulm, il a essayé de donner le plus d’informations possible à ses joueurs depuis le banc de touche : il a crié des ordres sur le terrain, a amené les joueurs vers lui pour des discussions en tête-à-tête – et a dû être averti par le quatrième arbitre à son départ. à nouveau la zone technique.

Mais bien sûr, tout ce que les joueurs et leur entraîneur avaient prévu n’a pas fonctionné lors du premier match de compétition. L’équipe munichoise aurait pu décider du match plus tôt si des passes inappropriées ne s’étaient pas glissées à plusieurs reprises devant.

Le plus important était le travail contre le ballon, a expliqué Müller devant les micros des journalistes : “Cette fois, c’était la clé car nous avons perdu trop de ballons. En conséquence, nous nous sommes rendu la vie difficile.

Dimanche prochain (15h30 dans le téléscripteur en direct FAZ de la Bundesliga et sur DAZN), les champions allemands du record débuteront la nouvelle saison de Bundesliga au VfL Wolfsburg. Que Leon Goretzka porte encore le maillot du Bayern est au moins douteux après le match à Ulm. Car tandis que d’autres candidats au transfert comme Kimmich, Gnabry et Müller utilisaient le jeu pour faire à nouveau leurs preuves, Kompany a une fois de plus décidé de ne pas utiliser Goretzka.

C’était un signal clair au milieu de terrain qu’il ne joue plus aucun rôle malgré son contrat valable jusqu’en 2026. Interrogé sur Goretzka, Müller a soigneusement choisi ses mots : « Léon n’est pas dans une situation facile, mais il s’entraîne toujours parfaitement. C’est ce qui distingue nos garçons : personne ne se laisse tomber.

Dans une équipe aussi bonne que celle du FC Bayern, il y a toujours des cas difficiles, “mais Leon est l’un des nôtres et il nous montre, en tant que coéquipiers, à quel point nous sommes importants pour lui, et c’est pareil dans l’autre sens”.