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Titre suggéré : Les championnes du monde espagnoles toujours en grève malgré leur convocation en sélection

Titre suggéré : Les championnes du monde espagnoles toujours en grève malgré leur convocation en sélection

Les joueuses n’ont toujours pas confirmé publiquement qu’elles reviendraient en sélection, malgré leur convocation par la nouvelle sélectionneuse, Montse Tomé, lundi.
Quinze des 23 championnes du monde espagnoles, pour la majorité en grève depuis l’affaire Rubiales, ont malgré tout été appelées, lundi 18 septembre, pour les prochains matchs de Ligue des nations par la nouvelle sélectionneuse Montse Tomé, qui a laissé de côté Jenni Hermoso pour “la protéger”. En revanche, les joueuses n’ont toujours pas déclaré publiquement qu’elles acceptaient de revenir en sélection, malgré la démission de l’ex-patron du foot espagnol Luis Rubiales et le licenciement du sélectionneur Jorge Vilda.

“Les joueuses sont des professionnelles et je suis sûre qu’elles feront bien leur travail, elles le font depuis longtemps” a déclaré Montse Tomé en dévoilant sa première liste. “Je sais qu’elles seront parmi nous demain” a-t-elle assuré, sans pouvoir donner de garanties supplémentaires. Quelques minutes plus tard, un communiqué des joueuses, partagé par Alexis Putellas a pourtant rappelé la “volonté ferme de ne pas être appelé pour des raisons justifiées. Ces déclarations restent pleinement en vigueur.”
Mapi León et Patri Guijarro, pas sélectionnées pour la Coupe du monde et faisant partie des “quinze rebelles” qui avaient déjà demandé des changements dans les méthodes de travail de l’équipe nationale il y a un an, ont été rappelées. Au total, 39 joueuses dont 21 des 23 Espagnoles sacrées à Sydney avaient annoncé vendredi dans un communiqué que les conditions n’étaient pas réunies pour qu’elles rejouent en équipe nationale et avaient appelé à une refonte totale des instances du foot espagnol.

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Jenni Hermose “protégée”
Parmi les signataires figurent la double Ballon d’Or Alexia Putellas et la meilleure joueuse UEFA de l’année Aitana Bonmati. Elles demandent plus de changements aux différents niveaux de la fédération (RFEF), notamment la démission de plusieurs membres qui faisaient partie de l’équipe de Luis Rubiales, ainsi que la “restructuration” de l’organigramme de la RFEF, du secrétariat général au service marketing. 19 d’entre elles font partie de la liste présentée lundi.

Concernant Jenni Hermoso, Montse Tomé a déclaré lui avoir parlé, sans révéler le contenu de leur discussion, avant d’assurer que de ne pas la sélectionner était, selon elle, “la meilleure façon de la protéger”. “Nous comptons sur Jenni, je travaille avec elle depuis cinq ans” a-t-elle ajouté, souhaitant “ouvrir une nouvelle étape” du football féminin espagnol.

Quelques heures avant la prise de parole de la sélectionneuse, la Fédération espagnole avait réitéré son intention de procéder à des “changements structurels” après l’affaire Rubiales, exhortant les 39 internationales qui refusent de revenir en sélection à “participer à ce changement”. Une formule reprise par Montse Tomé en conférence de presse. La Roja doit affronter la Suède vendredi et la Suisse la semaine prochaine en Ligue des Nations. Elle évoluera pour la première fois avec une étoile sur son maillot, mais sans garantie qu’il soit porté par celles qui ont décroché cette étoile en août.
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