Trias a ordonné, étant maire, de concevoir Barcelone comme la “capitale d’un nouvel État”

Trias a ordonné, étant maire, de concevoir Barcelone comme la “capitale d’un nouvel État”

l’empressement de Xavier Trias cacher sa volonté d’indépendance pour empêcher la polypropylène favoriser l’investiture de Jaume Collboni il heurte de plein fouet tout son travail de gouvernement. Et contraste surtout avec une de ses décisions moins connues : ordconcevoir le dessin de la «Barcelone capitale d’un nouvel État».

Le candidat Junts – alors inscrit dans la défunte CiU– a chargé 150 experts d’imaginer les transformations que subirait Barcelone lorsqu’elle deviendrait la capitale d’une Catalogne indépendante. La commission, réalisée en 2014, a été traduite dans le “livre blanc” de la Barcelone séparatiste, édité par le conseil municipal et publié un mois après la consultation du 9-Nun vote que Trias a activement diffusé en diffusant la propagande institutionnelle de la Generalitat à travers les canaux officiels du Consistoire.

Dans ses 397 pages, le manuel raconte, triomphaliste, les nombreux avantages que signifierait pour Barcelone de cesser de faire partie de l’Espagne pour exercer le statut de capitale de cette Catalogne divisée que Mas et Trias lui-même recherchaient.

« Dans le processus politique dans lequel se trouve la Catalogne, sa capitale veut apporter une contribution décisive à la réalisation des aspirations légitimes des Catalans. […] En ces temps complexes, mais aussi pleins d’illusions et d’espoir, ce livre veut aider à construire un projet d’avenir pour que la Catalogne, avec Barcelone au premier plan, soit un pays plus juste et plus libre”, déclare Trias dans la présentation de l’exemplaire qu’il délègue à ces sages apparentés la projection de la capitale de l’État Barcelone.

“Avec l’indépendance de la Catalogne, l’internationalisation de Barcelone ne fera que s’accroître”, indique le manuel, qui s’efforce d’essayer de convaincre les Barcelonais des bénéfices qu’apportera la sécession une fois réalisée.

« Barcelone occupe déjà aujourd’hui, par ses propres mérites et sans être une capitale d’État, une place très importante parmi les villes européennes et mondiales. Barcelone a atteint cette position malgré son appartenance à un État centraliste comme l’État espagnol, qui concentre les investissements et les organisations à Madrid », introduit le manuel, qui abonde : « Il y a des signes clairs que l’Espagne a nui aux intérêts commerciaux pour des raisons politiques ». “L’indépendance, poursuit-il, nous permettra de ne plus avoir une administration étatique hostile à notre volonté d’être”.

capital indépendant

Une fois effectué le règlement de comptes ponctuel avec cette Espagne présentée comme une ennemie, le traité conclut que « dans une Catalogne indépendante, les grandes infrastructures du pays, comme l’aéroport, le port ou les accès ferroviaires permettraient à Barcelone de exercer tout son potentiel logistique et économique et devenir le grand pôle qui relie le monde à l’Europe du Sud et le centre des échanges avec les pays émergents ».

“Barcelone est destinée à devenir une métropole aussi attractive qu’influente, le siège d’entreprises internationales et d’organisations indépendantes”, prédit l’ouvrage, ignorant qu’elle a déjà ce potentiel car elle appartient à l’Espagne.

L’une des analyses incluses dans le volume prédit qu'”en tant que capitale d’un État indépendant, Barcelone aura la voie ouverte pour devenir une capitale mondiale”. Et l’occasion de souligner l’une des promesses les plus répétées par les partis indépendantistes tout au long de la processus: « Barcelone sera la capitale d’un pays qui fera partie de l’Union européenne et sera reconnu internationalement ». Affirmation qui finira par se heurter de plein fouet à la réalité après le 1-O et la déclaration unilatérale d’indépendance de 2017, non reconnue par aucun État européen.

Toutes ces considérations ont reçu la protection institutionnelle de la mairie de Barcelone que Trias a contrôlée entre 2011 et 2015, dans les premières années du processus d’indépendance. Des années au cours desquelles il s’est consacré à reproduire les slogans imaginés de l’autre côté de la Plaça Sant Jaume, dans la salle des machines de la Generalitat.

Le compadreo manifesté entre Trias et Mais a permis au conseil municipal de supporter une grande partie des dépenses sécessionnistes de cette première tranche de la processus. En plus de déverser 74 millions d’euros dans le mémorial du Born pour que la Generalitat puisse célébrer le tricentenaire de 1714Trias ferait de son mieux pour étayer l’argument du Gouvernement avec des décisions telles que la publication de cet ouvrage soi-disant institutionnel et financerait la dette que la Generalitat entretenait avec le Consistoire.

UNE BIBLE SECESSIONNISTE. “Barcelone, ​​capitale d’un nouvel État” est un ouvrage publié par la mairie de Barcelone en décembre 2014, après la tenue du référendum du 9-N.

Selon les critères de

Le projet de confiance

Savoir plus

2023-06-14 23:50:35
1686781481


#Trias #ordonné #étant #maire #concevoir #Barcelone #comme #capitale #dun #nouvel #État

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.