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Trop d’ingrédients actifs n’aident pas, mais nuisent

by Nouvelles

2024-11-19 21:27:00

Es gibt Medikamente, die stehen sich gegenseitig im Weg. Johanniskraut verträgt sich oft nicht gut mit Antidepressiva, Ibuprofen kann die Wirkung von Entwässerungstabletten aufheben. So weit, so übersichtlich. Was aber, wenn regelmäßig nicht nur zwei Medikamente, sondern fünf miteinander kombiniert werden?

Eindeutige Antworten kann die Wissenschaft darauf bisher kaum geben. Bei fünf oder mehr Wirkstoffen seien Wechselwirkungen kaum vorhersehbar, meint Marjan van den Akker, Gesundheitswissenschaftlerin und Epidemiologin an der Universität Frankfurt. In der Veranstaltung „Wissenschaft im Dialog“, die von der Polytechnischen Gesellschaft, dem Kunstgewerbeverein Frankfurt und der F.A.Z.-Vorteilswelt organisiert wird, spricht sie am Montagabend mit F.A.Z.-Redakteur Sascha Zoske über Risiken der Multimedikation.

Immer mehr junge Menschen betroffen

Von der ist in der Wissenschaft die Rede, wenn ein Patient regelmäßig mehr als vier Medikamente einnimmt. Einer Multimedikation liege oft eine Vielzahl chronischer Erkrankungen zugrunde, sagt van den Akker: „Ab einem Alter von 65 Jahren rechnen wir damit, dass mindestens drei Viertel der Menschen mehrfach erkrankt sind.“ Und doch zeige sich auch unter jungen Menschen eine steigende Multimorbidität, also eine Mehrfacherkrankung, die über mehr als sechs Monate andauere. „Bei Jugendlichen und im Kindesalter sehen wir Diabetes Typ 2, was bis vor einigen Jahrzehnten noch als Alterserkrankung bekannt war“, sagt die Professorin. Hinzu kämen oft psychische Krankheiten wie Depressionen oder ADHS.

Recherches sur la multimédication : le scientifique de la santé Marjan van den Akker en conversation avec le rédacteur en chef du FAZ Sascha Zoske à l’Académie évangélique de Francfort.Carlotta Steinkamp

Selon van den Akker, si chaque maladie est accompagnée par un médecin différent, le risque de multimédicaments nocifs pour la santé augmente. L’aperçu global des médicaments serait perdu et les interactions éventuelles deviendraient plus probables. En particulier lorsque le traitement médicamenteux est modifié à l’hôpital, il n’y a souvent aucune consultation avec le médecin de famille. Parfois, les patients prennent les nouveaux médicaments en plus des anciens qui étaient censés être arrêtés et, dans le pire des cas, la dose était doublée.

Le plan de traitement doit rester précis

Le scientifique de la santé fonde donc de grands espoirs sur le dossier électronique du patient, qui doit être introduit en janvier dans tout le pays pour les personnes bénéficiant de l’assurance maladie obligatoire. Cela peut permettre aux médecins généralistes de suivre beaucoup plus facilement les prescriptions d’autres médecins, dit-elle.

Interactions entre recherches : Marjan van den Akker est professeur de recherche sur la multimédication et les services de santé à l'Université Goethe.
Interactions entre recherches : Marjan van den Akker est professeur de recherche sur la multimédication et les services de santé à l’Université Goethe.Carlotta Steinkamp

Mais d’ici là, il est encore plus important que les plans de médicaments soient gérés avec précision. Les médicaments sur ordonnance pris doivent être répertoriés ainsi que les médicaments en vente libre, explique van den Akker. Idéalement, chaque onguent, plante ou supplément vitaminique devrait être noté par votre médecin de famille : « Il vaut mieux en avoir trop que pas assez. »

L’intelligence artificielle au service de la recherche

Mais cela nécessite aussi l’aide du patient. Plus de la moitié de tous les médicaments à long terme ne sont pas pris correctement. Les patients sont souvent dépassés. «La seule stratégie qui puisse aider est de le divulguer», déclare van den Akker. Il est particulièrement important que les patients demandent un plan de médicaments et en discutent avec leur médecin de famille.

Cependant, les personnes malades devraient de toute urgence éviter de demander conseil aux chatbots. Cela tourne souvent mal, dit-elle. Cependant, l’intelligence artificielle pourrait être utile ailleurs. Selon van den Akker, dans la recherche, cela peut aider à identifier des interactions jusque-là méconnues. Les dangers posés par la multimédication pourraient ainsi être mieux évités à l’avenir.



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