Dans l’Amérique de Trump, sous l’influence de figures comme Robert Kennedy Jr., connu pour ses positions anti-vaccins et ses remèdes non conventionnels, un climat de restriction s’installe autour de la recherche scientifique.
Des scientifiques témoignent anonymement de pressions exercées pour minimiser ou supprimer toute référence aux vaccins à ARNm dans les demandes de financement. La crainte de représailles de l’administration Trump plane sur la communauté scientifique.
Un scientifique du National Cancer Institute confirme qu’une directive a été émise par le NIH, demandant que toutes les informations relatives aux financements, contrats et collaborations impliquant les vaccins à ARNm soient transmises à robert Kennedy Jr. et à la Maison Blanche. Des études sur l’hésitation vaccinale seraient également concernées, avec une indication claire que le NIH n’a aucun intérêt à explorer les raisons du refus de la vaccination.
Les NIH, principaux financeurs de la recherche biomédicale, voient leurs programmes examinés par la Maison Blanche et un département spécialement créé pour Elon Musk.
Une source gouvernementale anonyme révèle que l’administration Trump envisage de réduire les fonds alloués à la recherche sur les vaccins à ARNm, motivée par les convictions d’une partie de son électorat qui considère cette technologie comme dangereuse, malgré l’absence de preuves scientifiques. « Il n’y aura plus de recherches financées par le NIH sur les vaccins à ARNm », affirme un scientifique new-yorkais.
Des centaines d’études se retrouvent bloquées. Kawsar Talaat, chercheuse à la Bloomberg School of Public Health de l’université Johns Hopkins, attend des fonds pour lancer une étude sur un vaccin antidiarrhéique. « Le NIH a approuvé notre projet et nous attendons, sans savoir si nous allons avancer ou si tout va s’arrêter. »
Un scientifique de Philadelphie craint que ce ne soit que le début d’une offensive contre les vaccins, menée par Robert Kennedy Jr., malgré ses déclarations rassurantes lors de sa confirmation au Sénat. Les conséquences vont au-delà du blocage de la recherche. « Les chercheurs de mon équipe vont perdre leur emploi », déplore un scientifique new-yorkais.« Il y a un climat de peur dans le monde de la science, surtout parmi ceux qui étudient les vaccins. » L’administration Trump a également imposé une révision des contrats pour le vaccin à ARNm anti-aviaire, signés par l’administration Biden.
La Recherche Scientifique sous Pression dans l’Amérique de Trump
Table of Contents
L’governance Trump, influencée par des personnalités comme Robert Kennedy Jr., impose des restrictions significatives à la recherche scientifique, notamment concernant les vaccins à ARNm. Un climat de peur et d’autocensure s’est installé au sein de la communauté scientifique.
Impact sur la Recherche sur les vaccins à ARNm
Des pressions sont exercées pour minimiser ou supprimer toute mention des vaccins à ARNm dans les demandes de financement du NIH (National Institutes of Health). Une directive exige que toutes les informations relatives aux financements, contrats et collaborations impliquant ces vaccins soient transmises à Robert Kennedy Jr. et à la Maison Blanche.Les études sur l’hésitation vaccinale sont également visées, le NIH montrant un désintérêt manifeste pour explorer les raisons du refus de la vaccination.Des réductions de financement pour la recherche sur les vaccins à ARNm sont envisagées, reflétant les convictions d’une partie de l’électorat Trump, malgré l’absence de preuves scientifiques. Un scientifique new-yorkais prédit même l’arrêt complet de ces financements par le NIH.
Conséquences pour la Communauté Scientifique
Des centaines d’études sont bloquées, affectant des chercheurs comme Kawsar Talaat à l’université Johns Hopkins. le climat de peur engendre une incertitude quant à l’avenir des projets de recherche, avec des chercheurs craignant la perte de leur emploi. L’administration Trump impose également une révision des contrats pour le vaccin à ARNm anti-aviaire signés sous l’administration Biden. L’implication d’un département créé spécialement pour Elon Musk dans l’examen des programmes du NIH accentue le doute et l’inquiétude.
Tableau Récapitulatif : Impacts clés de la politique scientifique de l’administration Trump
| Aspect | Impact | Conséquences |
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| Financement Recherche Vaccins ARNm | Pressions pour minimiser/supprimer les références aux vaccins ARNm. Réduction envisagée.| Blocage de centaines d’études, perte d’emplois pour les chercheurs, climat de peur. |
| Études sur l’Hésitation Vaccinale | Désintérêt du NIH pour explorer les raisons du refus de la vaccination. | Manque de compréhension des facteurs influençant l’hésitation vaccinale. |
| Contrôle et Surveillance | Directive du NIH pour transmettre des informations à Robert Kennedy Jr. et la Maison Blanche. | Opacité, manque de transparence concernant les décisions de financement. |
| Contrats Précédents | Révision des contrats pour le vaccin à ARNm anti-aviaire signés par l’administration Biden. | Incertitude quant à la poursuite des projets et l’impact sur les recherches en cours. |
FAQ
Q : Quelles sont les principales conséquences de cette politique scientifique ?
R : Blocage de la recherche, perte d’emplois, climat de peur au sein de la communauté scientifique, manque de transparence.
Q : Quel est le rôle de Robert Kennedy Jr. dans cette situation ?
R : Il influence fortement la politique scientifique de l’administration Trump, notamment en ce qui concerne les vaccins à ARNm.
Q : Quels organismes sont impliqués ?
R : Le NIH, la Maison Blanche, un département créé pour Elon Musk.
Q : Quelles recherches sont particulièrement affectées ?
R : La recherche sur les vaccins à ARNm et les études sur l’hésitation vaccinale.