Un mémorandum présidentiel a ordonné aux agences fédérales de révoquer les habilitations de sécurité de plusieurs personnalités politiques perçues comme adversaires.
« J’ai déterminé qu’il n’est plus dans l’intérêt national que les personnes suivantes aient accès à des informations classifiées », stipule le mémorandum. « Par la présente, j’ordonne à tous les chefs de départements et d’agences exécutives de prendre toutes les mesures supplémentaires nécessaires et conformes à la législation en vigueur pour révoquer toute habilitation de sécurité en vigueur dont disposent les personnes mentionnées et de mettre immédiatement fin à leur accès aux informations classifiées. »
Le mémorandum s’applique aux briefings classifiés et à tout accès que ces personnes pourraient avoir eu à des informations classifiées en raison de leur ancienneté au Congrès.Cette mesure s’inscrit dans une série d’actions similaires. En février, l’ancien président avait révoqué l’habilitation de sécurité de son successeur et mis fin à ses briefings quotidiens sur le renseignement.
Le mémorandum officialise la révocation de l’habilitation de sécurité de l’actuel président,ainsi que celle de plusieurs autres personnes dont l’administration précédente avait déjà annoncé le retrait des habilitations. Il bloque également l’accès de la famille de l’ancien président aux informations classifiées, en supposant qu’elle en ait eu.
Outre ses rivaux démocrates, l’ancien président a également révoqué les habilitations de sécurité de deux républicains du comité de la Chambre des représentants qui enquêtait sur son rôle dans l’insurrection du 6 janvier 2021.
Plusieurs personnes nommées dans le mémorandum ont vu leurs habilitations de sécurité révoquées, notamment d’anciens hauts fonctionnaires, ainsi que deux avocats ayant intenté des actions en justice.
Un autre mémorandum promet de punir les avocats et les cabinets d’avocats en révoquant leurs habilitations de sécurité et en annulant les contrats fédéraux qu’ils pourraient avoir.
Il a été demandé d’examiner la conduite des avocats et des cabinets qui ont intenté des actions en justice jugées frivoles ou qui ont tenté de bloquer des initiatives en matière d’immigration.
Révocation des Habilitations de Sécurité : Le Mémorandum Présidentiel Expliqué
Table of Contents
Un mémorandum présidentiel a ordonné la révocation des habilitations de sécurité de plusieurs personnalités politiques perçues comme adversaires. Ce document a des implications importantes sur l’accès aux informations classifiées.
Le Contexte de la Décision
Le mémorandum stipule clairement que la révocation des habilitations de sécurité est basée sur la détermination que l’accès aux informations classifiées par ces personnes n’est plus dans l’intérêt national. Cette décision s’applique non seulement aux briefings classifiés mais aussi à tout accès à des informations de ce type résultant de leur ancienneté au Congrès.
Les Cibles du Mémorandum
Le mémorandum cible plusieurs individus et groupes :
L’actuel président : Son habilitation de sécurité est révoquée, officialisant une décision précédente.
D’autres personnes : L’management précédente avait déjà annoncé le retrait des habilitations de sécurité de plusieurs personnes, qui sont maintenant confirmées.
La famille de l’ancien président : L’accès de la famille aux informations classifiées est également bloqué.
Des opposants politiques : Les habilitations de sécurité d’adversaires politiques, y compris des démocrates, ont été révoquées.
Des membres du Congrès : Deux républicains membres du comité de la Chambre des représentants enquêtant sur l’insurrection du 6 janvier 2021 ont également été ciblés.
Anciens hauts fonctionnaires : Plusieurs anciens hauts fonctionnaires ont vu leur habilitation révoquée.
* Avocats : Deux avocats ayant intenté des actions en justice ont été visés. La révocation des habilitations de sécurité s’étend aux avocats et aux cabinets d’avocats impliqués dans des actions jugées frivoles ou dans des tentatives de bloquer des initiatives en matière d’immigration.
Actions précédentes et Actions Similaires
La révocation des habilitations de sécurité s’inscrit dans une série d’actions similaires. En février, l’ancien président avait déjà révoqué l’habilitation de sécurité de son successeur et mis fin à ses briefings quotidiens sur le renseignement.
Tableau Récapitulatif
| Type d’Individu Cible | Action |
| :————————— | :———————————————————————————————- |
| Actuel Président | Révocation de l’habilitation de sécurité |
| Ancien Président et Famille | Accès bloqué aux informations classifiées |
| Opposants Politiques | Révocation de l’habilitation de sécurité |
| Membres du Congrès | Révocation de l’habilitation de sécurité |
| Anciens Hauts Fonctionnaires | Révocation de l’habilitation de sécurité |
| Avocats et Cabinets | Révocation de l’habilitation de sécurité et annulation des contrats fédéraux (si concernés) |
FAQ (Foire Aux Questions)
Q : Qu’est-ce qu’une habilitation de sécurité ?
R : C’est l’autorisation d’accéder à des informations sensibles ou classifiées.
Q : Qui peut révoquer une habilitation de sécurité ?
R : Généralement, les hauts fonctionnaires et le Président ont le pouvoir de révoquer les habilitations de sécurité.
Q : Pourquoi les habilitations de sécurité sont-elles révoquées ?
R : Pour plusieurs raisons, comme lorsque la personne n’est plus jugée digne de confiance ou n’a plus besoin d’accéder à des informations classifiées.
Q : Quelles sont les conséquences de la révocation d’une habilitation de sécurité ?
R : L’individu n’a plus accès aux informations classifiées, aux briefings et peut perdre son emploi/rôle qui nécessite cet accès.