Un ancien politicien admet avoir agressé sexuellement une fillette de huit ans

Un ancien politicien admet avoir agressé sexuellement une fillette de huit ans

Un ANCIEN politicien a plaidé coupable à l’agression sexuelle d’une fillette de huit ans.

L’homme – qui ne peut être nommé pour des raisons juridiques – a plaidé coupable d’avoir agressé sexuellement la jeune fille à une adresse à Cork il y a près de 20 ans.

La juge Helen Boyle a été informée par Lily Buckley BL, pour l’État, que l’homme avait indiqué à l’avance par écrit qu’il plaiderait coupable lorsque l’affaire serait portée devant le tribunal pénal du circuit de Cork.

L’homme, qui est dans la cinquantaine, a été accusé d’agression sexuelle sur la fillette de huit ans à une adresse à Cork entre le 1er et le 7 novembre 2003.

L’accusation a été portée en violation de la Common Law et de l’article 2 de la Criminal Law Rape Amendment Act, 1990.

Lorsqu’on lui a demandé comment il avait plaidé, l’homme a répondu “Coupable” d’une voix forte.

Vêtu d’une veste verte, d’un pull et d’un pantalon sombre, l’homme n’a parlé auparavant devant le tribunal que pour confirmer son identité.

Mme Buckley a déclaré que l’État cherchait à ce que l’affaire soit ajournée jusqu’aux prochaines sessions de la Circuit Criminal Court.

Il s’agissait de faciliter la préparation de rapports d’experts pour aider le tribunal à prononcer la peine.

La victime se verra également offrir la possibilité de soumettre une déclaration de la victime avant que la peine ne soit imposée.

Kate Aherne BL, pour le défendeur, a déclaré que son client était au tribunal avec son consentement à la mise en liberté sous caution.

Cependant, Mme Aherne a déclaré que son client renonçait maintenant volontairement à sa caution.

La juge Boyle a déclaré qu’elle ajournerait l’affaire jusqu’au 25 avril pour la détermination de la peine.

Elle a ordonné que des préparations spécifiques pour la détermination de la peine soient faites.

Le juge Boyle a placé l’accusé en détention provisoire jusqu’au 25 avril.

Elle a imposé des restrictions de signalement sur la question et a ordonné que rien ne soit publié qui pourrait identifier la victime.

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