2024-12-09 21:00:00
Lors de sa dernière visite à Cordoue, Javier Miley Il a prononcé une phrase au pupitre de la Fondation Méditerranée qui lui a valu le désaveu d’une bonne partie du cercle politique national. Au milieu de son discours a accusé Alfonsín d’être un « putschiste »». “Paradoxalement, Alfonsín est présenté comme le père de la démocratie et il était un partisan d’un coup d’État”, en référence à la chute du gouvernement de Fernando de la Rúa en 20001. En effet, tout au long de la campagne présidentielle, Milei n’a pas caché sa haine viscérale contre Alfonsín, qu’il a disqualifié à plusieurs reprises.
En ce sens, l’enquête auprès de Consultant CB lié à la première année au pouvoir de Milei, il contient de nombreuses données qui feraient plaisir au libertaire, mais qui ne lui plairont sans doute pas : cela n’a rien à voir avec les bons chiffres qu’il obtient Victoria Villarruel ni avec le fait que la majorité des gens souhaitent que le projet de loi soit approuvé Feuille blanche.
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L’un des chapitres de l’ouvrage s’intitule “Javier Milei et les présidents de la démocratie.” On y étudie pour qui les Argentins voteraient si l’actuel président devait affronter les dirigeants en poste depuis 1983. Milei gagne confortablement dans tous les cas, à une exception près : Raúl Alfonsín est le seul à pouvoir le battre.
Concrètement, lorsqu’on lui a demandé pour qui le radical voterait, il a obtenu 45,2% des préférences contre 42,5% pour Milei. 8,8 % diraient vide et 3,2 % « ne sait pas ».
Dès lors, le libertaire l’emporte facilement sur Carlos Menem (près de 33 points d’écart avec 33,7% de votes blancs), Fernando de la Rua (52% à 8%), un Nestor Kirchner (49,7% à 43,4%), un Cristina Fernández de Kirchner (53,2% à 37,2%), une Mauricio Macri (42,8% à 17,9%) déjà Alberto Fernández (54,1% à 18,1%).
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