Un directeur d’école de la Commission scolaire de la Seigneurie-des-Mille-Îles (CSSMI) était en contact avec l’avocate du Service du secrétariat général et des communications du CSSMI et le service des ressources humaines concernant des allégations d’abus physiques et d’insultes de la part d’une enseignante. Cependant, aucune suspension ou enquête interne n’a été déclenchée à l’époque en raison de la difficulté à valider les allégations. Cependant, un enregistrement audio divulgué plus tard fut une preuve irréfutable et la directrice générale du CSSMI a par la suite suspendu l’enseignante. La Fédération des comités de parents du Québec a dénoncé l’inaction du centre de services scolaire dans cette affaire et la porte-parole libérale en matière d’éducation a réclamé la suspension de l’avocate du CSSMI. Le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, a répondu que des procédures doivent être suivies.

Un directeur d’école de la Commission scolaire de la Seigneurie-des-Mille-Îles (CSSMI) était en contact avec l’avocate du Service du secrétariat général et des communications du CSSMI et le service des ressources humaines concernant des allégations d’abus physiques et d’insultes de la part d’une enseignante. Cependant, aucune suspension ou enquête interne n’a été déclenchée à l’époque en raison de la difficulté à valider les allégations. Cependant, un enregistrement audio divulgué plus tard fut une preuve irréfutable et la directrice générale du CSSMI a par la suite suspendu l’enseignante. La Fédération des comités de parents du Québec a dénoncé l’inaction du centre de services scolaire dans cette affaire et la porte-parole libérale en matière d’éducation a réclamé la suspension de l’avocate du CSSMI. Le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, a répondu que des procédures doivent être suivies.

D’après Nathalie Joannette, la directrice générale du Centre de services scolaire de la Montagne (CSSMI), les ressources humaines et le secrétariat général étaient impliqués dans un dossier pour voies de fait qui fait l’objet d’une enquête policière. Cependant, elle assure qu’elle n’était pas au courant personnellement de l’affaire avant cette semaine et maintient sa pleine confiance dans l’avocate en charge du dossier à l’époque. Elle explique que l’enregistrement audio divulgué cette semaine était une preuve claire des allégations contre l’enseignante, contrairement aux courriels datant de février qui étaient difficiles à valider. La Fédération des comités de parents du Québec (FCPQ) dénonce l’inaction du CSSMI dans ce dossier et la porte-parole libérale en matière d’éducation, Marwah Rizqy, réclame la suspension de l’avocate du CSSMI impliquée dans certaines enquêtes. Le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, n’exclut pas une suspension mais rappelle que des procédures doivent être suivies. Nathalie Joannette quant à elle veut corriger le cheminement des plaintes à l’avenir et affirme que cette affaire sera étudiée par des fonctionnaires ayant pour mandat de faire toute la lumière sur toute situation mettant en danger la sécurité physique ou psychologique des élèves.

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