Un éminent diplomate de l’OTAN propose une vision pour la fin de la guerre ; il se rétracte ensuite.

Bonne journée,

Les Russes ont continué de bombarder des cibles civiles ukrainiennes cette semaine. Des missiles guidés ont également touché des immeubles d’habitation, des grands magasins et des jardins d’enfants dans les régions occidentales près de la frontière avec la Pologne.

Entre-temps, deux mois après avoir lancé la contre-offensive tant attendue sur le front sud-est, les Ukrainiens ont repoussé les troupes ennemies du village d’Urožajne. Ils ont également avancé dans la région de Zaporijia, mais sans supériorité aérienne contre un adversaire bien fortifié, chaque kilomètre gagné signifie des dizaines de soldats tombés.

Aujourd’hui, il est déjà évident que l’idée de la façon dont l’armée ukrainienne atteindra la mer d’Azov en un éclair et regagnera tout son territoire d’ici la fin de l’année n’était pas réaliste depuis le début.

Bien que Kiev exhorte à la patience et demande l’accélération des livraisons d’armes, ses progrès apparemment lents poussent certains alliés de l’Ukraine à envisager d’autres moyens d’arrêter l’agression russe.

Ce qui a été entendu en Norvège : Jusqu’à présent, pratiquement aucun responsable occidental n’a parlé publiquement de plans alternatifs pour mettre fin à la guerre. Cette semaine, cependant, le chef du cabinet du secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, l’a fait.

Il a déclaré que