Un étudiant en droit demande une ordonnance du tribunal pour empêcher le harcèlement présumé d’un avocat – The Irish Times

Un étudiant en droit demande une ordonnance du tribunal pour empêcher le harcèlement présumé d’un avocat – The Irish Times

Un étudiant en droit a récemment fait une demande au tribunal dans le but d’obtenir une ordonnance pour empêcher le harcèlement présumé d’un avocat. Cette affaire, qui suscite de vives réactions, met en lumière les défis auxquels peuvent être confrontés les étudiants en droit et soulève des questions sur la protection des droits fondamentaux dans le milieu juridique. Dans cet article, nous examinerons les détails de cette affaire et nous interrogerons sur les mesures nécessaires pour garantir un environnement sûr et inclusif pour les futurs professionnels du droit.

Une étudiante en droit veut une ordonnance de la Haute Cour empêchant un avocat basé à Dublin de la harceler et de l’intimider.

Sumaia Samanta demande une injonction empêchant l’avocat Imtiaz Khan, exerçant sous le nom et le titre d’IMK Solicitors, de la harceler délibérément et punitivement, de l’intimider et de lui causer une détresse émotionnelle intentionnelle.

Elle souhaite également que le tribunal applique les termes de l’injonction à tout agent, associé ou personne présumé agissant au nom de M. Khan.

Représentée par David O’Brien, mandatée par RNL Solicitors, Mme Samanta dit qu’elle est titulaire d’un diplôme en droit du Bangladesh et qu’elle étudie actuellement à la Law Society of Ireland en vue de se qualifier en tant qu’avocate.

Elle affirme avoir approché le défendeur, qui est basé à Mountjoy Square à Dublin, fin 2022 pour obtenir des conseils sur la façon de devenir avocat.

Dans sa déclaration sous serment au tribunal, elle affirme qu’en apprenant qu’elle vient du Bangladesh, M. Khan lui a proposé un emploi où elle aiderait à attirer davantage de clients bangladais dans son entreprise.

La plaignante, avec une adresse à Leixlip, Co Kildare, dit que son rôle comprenait la promotion de l’entreprise via ses médias sociaux et sa chaîne YouTube auprès des membres de la communauté bangladaise d’Irlande.

Elle dit qu’elle devait recevoir une commission pour chaque nouveau client qu’elle amenait, que ses frais de déplacement seraient payés et qu’elle recevrait un contrat de travail écrit.

Elle affirme qu’en dépit d’avoir amené des clients dans l’entreprise, elle n’a jamais été payée ni n’a reçu de contrat écrit et, par conséquent, a déposé une plainte auprès de la Commission des relations sur le lieu de travail (WRC) au sujet de M. Khan.

Depuis qu’elle a porté plainte, affirme-t-elle, elle a fait l’objet d’une campagne malveillante d’intimidation et de harcèlement “conçue pour faire pression sur moi pour que je retire” la plainte du WRC.

Elle a déclaré qu’en décembre dernier, elle avait été chargée d’assister à la fête de Noël de l’entreprise et de prendre des photos des personnes présentes à l’événement. Des images et des vidéos ont été publiées sur les réseaux sociaux de l’entreprise, a-t-elle déclaré.

Cependant, peu de temps après, affirme-t-elle, une personne du cabinet d’avocats, qu’elle ne connaissait pas, lui a dit de manière agressive de retirer les images et les vidéos, ce qu’elle a fait.

Elle a ensuite été informée par courrier électronique que son emploi au sein de l’entreprise avait été résilié.

Elle pense qu’elle avait été « préparée à une sanction » afin que l’entreprise du défendeur puisse éviter de payer les paiements qui lui étaient dus.

Elle affirme qu’au début de cette année, après avoir déposé sa plainte auprès de la WRC, elle a reçu une lettre au nom de l’accusé menaçant de la poursuivre en justice.

La lettre aurait exigé qu’elle paie 26 000 € ou 2 000 € à 13 personnes dont les droits sur les données auraient été violés à cause de publications et d’images qu’elle aurait publiées sur les réseaux sociaux.

Elle affirme que sa santé a souffert et que les allégations portées contre elle ont été “détruisantes”.

Elle a dit qu’elle craignait pour ses perspectives de carrière en Irlande si cette action était intentée contre elle et, à un moment donné, elle a retiré sa demande au WRC avant de le rétablir.

Elle a déclaré que son avocat avait écrit au défendeur pour rechercher l’identité des 13 personnes dont les droits auraient été violés par le demandeur. Elle affirme qu’aucune réponse n’a été fournie à cette demande.

De plus, son avocat a contacté une personne qui avait assisté à la fête de Noël pour voir si elle avait porté plainte contre le plaignant pour avoir publié les images de l’événement.

Son avocat a été informé que plusieurs personnes présentes à la fête n’avaient aucun problème avec le demandeur et n’avaient pas demandé au défendeur d’engager des poursuites en leur nom au sujet des messages.

Elle et son avocat, qui ont demandé à l’accusé de retirer la menace de la poursuivre pour violation présumée des données, ont déclaré que la lettre de l’accusé était une autre tentative de lui faire retirer sa plainte auprès de la WRC.

Les choses se sont intensifiées ces derniers jours, dit-elle, alors qu’elle recevait plusieurs appels d’un associé de l’accusé disant que lui et sa femme poursuivraient Mme Samanta pour diffamation avec l’aide du cabinet de l’accusé.

L’associé, qui, selon elle, agit de concert avec M. Khan, a déclaré que lui et l’accusé “feraient de ma vie un enfer”.

À la suite des actions présumées de la défenderesse, elle s’est présentée devant le tribunal pour demander diverses ordonnances, notamment une injonction et des dommages-intérêts contre M. Khan.

Sa demande d’injonction a été présentée au juge Brian O’Moore jeudi après-midi alors qu’elle était la seule représentée devant le tribunal.

Le juge n’était pas prêt à rendre des ordonnances temporaires contre le défendeur alors que seule Mme Samanta a été informée de la demande.

Il lui a accordé la permission de signifier un bref préavis de la demande d’injonction et a prévu que l’affaire revienne devant le tribunal lundi.

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